Archives de catégorie : e-marketing

La 3D pour vendre avec VB2S et La Redoute

La 3D est très probablement adaptée, pour mieux présenter certains produits.

C’est probablement le cas pour les vêtements.

C’est en tout cas ce que c’est dit La Redoute, avec l’utilisation de la technologie de www.vb2s.com.

Page d'acceuil de l'espace d'essayage de la redoute

On part avec à droite un mannequin virtuel, presque nue :

Mannequin presque nue

On a la possibilité de complètement adapter la morphologie du mannequin, soit pour qu’il vous ressemble, soit pour qu’il corresponde à l’image que vous avez de vous :

Options de personnalisation du mannequin

(les garçons, on se calme sur le bonnet)

On peut ensuite passer au salon d’essayage :

choix des vêtements

Bon, évidement, le but, c’est de vendre. On peut donc acheter les produits. Dans ce cas, on est simplement redirigé vers le site marchand « classique ». Domage que l’intégration ne soit pas meilleure : on ne garde pas les infos sur la taille, et on ne peut pas remplir son panier depuis l’espace virtuel.

Mais bon, tout ça marche très bien, bravo Sébastien !

La qualité pour un service Pro

J’en parlais ce midi avec mon interlocuteur (consultant sur les gros systèmes e-commerce, j’en reparlerais), la qualité, que ce soit chez les petits acteurs ou chez les gros, est rarement au rendez vous, sur tous les fronts : interface, homogénéité du service, mais surtout « sous le capot » : les programmes.

Et bien ce soir, je devais utiliser un des très très gros service e-commerce français. Impossible. Le service est complètement « en rad ». C’était déjà le cas hier…

Ok, ils sortent une nouvelle version. Et alors ?

Pour un acteur de cette taille là, ils n’ont pas de plate-forme de recette ?

Ce que me disais mon interlocuteur de ce midi, c’est que ce n’est pas une mauvaise nouvelle. C’est une bonne nouvelle parce que ça ne peut que s’améliorer.

C’est également une bonne nouvelle pour Araok! : il y a du pain sur la planche !

Acheter sa voiture sur Internet avec CDiscount

Je suis tombé sur ce site de vente de voitures :

Acheter sa voiture sur Internet, avec CDiscount

Les offres ont l’air intéressante. J’ai par exemple fait une simulation, pour un Renault Espace.

Entre le site de Renault et le site de CDiscount, on arrive à une différence de prix de 27% pour une voiture neuve.

En fait, derrière CDiscount, il y a Auto-IES, un spécialiste de la vente de voitures neuves à prix discount.

Il s’agit donc d’un service, intégré en marque blanche : le service d’Auto-IES est mis en ligne sur le site de CDiscount, et mis aux couleurs de CDiscount (les formulaires sont exactement les mêmes sur les deux sites.

Enrichir la page produit avec une fonction Q&A ?

(Q&A : Question & Answer)

BazaarVoice propose un module, qu’on insère dans les fiches produits, de questions / réponses.

On comprend bien l’idée, d’enrichir la page produit avec des discussions, alimentées par les consommateurs et internautes de passage.

J’ai cherché des sites marchands, utilisant cette fonction.

J’ai en particulier trouvé CompUSA :

CompUSA

Un petit zoom sur la fonction Q&A :

CompUSA / Q&A

A mon sens, un tel module n’a d’intérêt qu’à partir d’un certain niveau d’audience.

Autre remarque : il est à mon avis important de jouer la transparence de la part du marchand. Si la réponse est écrite par l’équipe interne, il faut le dire, et ne pas « faire semblant d’être un client ».

Un tel module pourrait également avoir de l’intérêt sur d’autres pages que les pages produits (conditions de garantie, …).

Modèles alternatifs de ventes privées : l’exemple MyFab

Vente Privée : vous connaissez bien.

Le principe est finalement assez simple : acheter les stocks des marques, proposer une « vente privée », via de l’envoie d’emails aux membres du « club ».

Evidement, la vente n’a de privée que le nom. Tout le monde peut s’inscrire. Vente Privée a ainsi des millions de membres.

Le modèle marche incroyablement bien, pour vente privée, mais également pour les « folowers ».

Ce qui est étonnant de mon point de vue, c’est que ce modèle soit une innovation, qu’elle soit si récente.

A partir de ce « moule », certains acteurs cherchent d’autres modèles, dérivés.

C’est en particulier le cas de MyFab.

Logo MyFab

MyFab propose de vendre des produits, qui ont la particularité de ne pas être fabriqués.

MyFab : explication de texte

Le principe est le suivant :

  • MyFab propose une sélection de produits, et organise des ventes de type « Vente privées », avec campagne d’emailing donc ;
  • Les clients passent leurs commandes ;
  • Le processus « produit » entre alors en action, avec lancement de la fabrication, en chine, expédition en France, et livraison.

MyFab permet donc de raccourcir le lien, entre les producteurs et les consommateurs.

La promesse, c’est d’avoir des prix très bas (70% de discount).

Le challenge, c’est de rendre les clients patients, puisqu’il faut plus de 2 mois pour recevoir sa commande (remarque, sur les sites de vente privée, les délais ne sont pas toujours plus courts 😉 ).

Pour faire attendre les clients, MyFab propose de suivre les commandes :

Suivi de la commande

Maintenant, comment MyFab sélectionne les produits à fabriquer ?

Réponse : en demandant aux clients de choisir :

Voter pour les produits préférés

E-commerce et réseaux sociaux : activité rentable ou « exploration » ?

J’ai eu une discussion intéressante avec un responsable d’un site marchand, a qui je demandais quel était son intérêt par rapport aux réseaux sociaux.

Sa réponse a été la suivante :

« Bien sûr, c’est intéressant. On peut faire des essais, jouer dans ce nouvel espace.

Mais est-ce que ces actions sont bien rentables ? Combien de produits vais-je vendre suite à ces actions emarketing ? »

Est-ce plus rentable qu’une campagne Adwords bien menée ?

Vous ne trouvez pas qu’il se pose les bonnes questions ?

Je trouve qu’effectivement, se poser la question de la rentabilité de tel ou tel action est très sain.

Un petit commerçant ne peut pas tout faire, et doit se focaliser sur quelques actions, qui pourront ainsi être parfaitement maîtrisées.

Maintenant, peut on « exploser » son business via les réseaux sociaux ?

La réponse est oui. Notre ami Patrice Cassard de La Fraise en a fait la démonstration.

Mais la réponse n’est pas la même pour tout le monde. Et certains produits sont mieux adaptés que d’autres à ce type de ventes.

Pour les grands marchands, je pense que la réponse est un petit peu différente. Ils ont plus de moyens, et peuvent se permettre d’expérimenter.

Liens entre les moteurs de shopping et les réseaux sociaux

Avez vous vu les icônes, sur les fiches produits de Twenga ?

FaceBook & Myspace sur Twenga

J’ai essayé les deux, Facebook et MySpace (sans grand succès je dois dire).

Concrètement, l’idée est la suivante : mettre les produits que je recommande, que j’aime, ou que je veux, dans mon profil, sur un réseau social.

Pour Twenga, le gain est évident : l’idée est d’utiliser les réseaux sociaux pour multiplier les « points de ventes » : présenter les produits partout, directement dans les pages perso des membres. Si « l’ami d’un ami » voit le produit, et l’achète via la vignette Twenga, Twenga empoche les revenus liés à l’affiliation.

L’idée de brancher sur les réseaux sociaux existants est une bonne idée.

Toute la question sera ensuite dans la qualité de l’intégration : ça doit marcher, bien marcher, de manière simple, avec les quelques fonctions sympatiques permettant de rendre ce service intéressant (ajouter un commentaire par exemple).

Il reste du travail…

Pour en savoir plus sur les liens entre les réseaux sociaux et le e-commerce.

ARAOK : interview par Franck

J’ai croisé Franck, quelques jours avant le petit dej’ sur les réseaux sociaux. Il m’a interviewé et mis en ligne la vidéo :

Sympa, non ?

Pour voir l’article original, c’est ici.

Le e-commerce B2B peut être bien différent du B2C !

J’ai la chance de travailler en ce moment pour un site e-commerce exclusivement B2B.

Intéressant comme la problématique, dans ce cas de figure, est radicalement différente d’un site classique grand public.

Ici, le filtre à l’entrée est très élevé. Impossible d’acheter directement. Il faut faire une demande d’inscription, puis les clients sont contactés par un commercial, …

Donc, pour ce site, Google n’est pas l’apporteur d’affaires. Du moins pas directement.

Par contre, les clients sont incroyablement fidèles, et font plusieurs achats par mois.

J’ai trouvé la situation très paradoxale par rapport à la majorité des sites B2C, où la prospection de nouveaux clients est en général assez bien rodé (Affiliation, campagnes adwords, …) mais avec bien souvent une gestion de la base client, dans la durée, pas très optimisée.

Premier retour du p’tit dej’ sur les réseaux sociaux et le e-commerce

Pas mal de monde pour le petit dej’ de ce matin, sur un sujet passionnant.

Voici ma présentation :

Quelques infos, récupérées au fil des discussions :

  • Penser au business model basé sur les micro paiements.
  • Ne pas se laisser « hypnotiser » par FaceBook, il y a beaucoup, beaucoup de réseaux sociaux.