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Interview de François Bancilhon, PDG de Data Publica

J’ai interviewé François Bancilhon, PDG de la société Data Publica (note : une société dont je suis actionnaire), pour comprendre ce que faisait sa société dans l’éco-système de l’Open Data.

Bonjour François. C’est quoi l’Open Data ?

Bonjour François ;). C’est l’idée selon laquelle les données publiques (celles qui sont recueillies, maintenue et utilisées par les organismes publics) doivent être ouvertes aux citoyens et aux entreprises. Aux citoyens pour des raisons de transparence, aux entreprises pour qu’elles puissent s’en servir pour améliorer leurs processus métiers ou créer de nouveaux services (transports, tourisme, etc.)

Donc ça ne touche pas aux données du secteur privé ?

La loi ne s’applique qu’aux données publiques, mais rien n’empêche une société privé d’ouvrir certaines de ses données, pour des raisons de transparence ou pour contribuer au développement d’un éco-système autour d’eux.

Que fait Data Publica ?

Nous avons d’abord construit un annuaire des données françaises (payantes ou gratuites, publiques ou privées, régionales, nationales ou européennes), nous avons fait l’inventaire de plus de 10 000 jeux de données, nous avons renseigné leur méta-données (date, éditeur, sujet, etc) et nous offrons un moteur de recherche pour naviguer et rechercher des données dans l’annuaire.

C’est gratuit ?

Absolument, il suffit de se connecter à www.data-publica.com et de naviguer !

Donc comment vous gagnez de l’argent ?

Tout d’abord en développant des jeux de données sur les spécifications de nos clients. Le client vient nous voir, nous décrit les données qu’il veut, nous identifions les sources, nous extrayons les données, nous les traitons et les livrons au client.

Exemple ?

Nous construisons en ce moment pour un client le jeu de données des appels d’offres publics : il y a 8000 sources, il faut les crawler, les extraire, les formater, les dédupliquer et les livrer.

Vous vendez de la donnée publique ?

Non, nous aidons gratuitement les gens à accéder plus facilement à la donnée publique par notre annuaire. Nous ne vendons que la valeur ajouté que nous avons incorporé dans les données, publiques ou non.

Autre service que vous fournissez ?

Nous avons ouvert un « Data Store » (comme un App Store, mais pour les données), où l’on peut acheter des données et y accéder immédiatement.

Quel type de données y trouve-t-on ?

De toute sorte : des données sur la fiabilité des entreprises, sur les circonscriptions susceptibles de basculer d’un côté à l’autre aux prochaines élections, ou sur la notation financière des collectivités locales.

Qui peut utiliser le service ?

Toute personne cherchant de la donnée : pour les données sur la fiabilité des entreprises, leurs fournisseurs, ou leurs clients ; pour les données sur élections, les partis politiques et leurs stratèges, pour la notation financière des collectivités locales

Les données sont fournies dans quels formats ?

Dans les formats classiques les plus adaptés à l’usage du jeu de données : XLS, ODP, SQL,CSV, DSPL, etc. D’autres données temps réel seront fournies sous forme d’API ou de services Web.

Dernière question : J’ai des données, je peux gagner de l’argent grâce à Data Publica ?

Absolument, nous rencontrons tous les jours des gens qui ont des données intéressantes et qui n’ont pas pensé à les valoriser. Hier encore par exemple, une PME innovante qui a des données très riches sur les performances et la qualité des applications Web.

Merci François 🙂

 

En direct live des Favori de la Fevad

Voici mes notes, prises en direct pendant « l’évènement e-commerce de l’année »

C’est « brut de fonderie », publié via l’iphone, puisqu’il n’y a pas de réseau Wifi ;).

Bonne lecture 😉

50% des américains déclarent comparer les prix en magasin, depuis leur téléphone

Jacques Antoine Granjon
40% des étudiants, en école de design US sont des chinois
Les chinois deviendrons des créateurs de marques, il faut s’y préparer

Pourquoi n’y a-t-il pas de vente de nains de jardins sur Vente Privée ?
Parce que ça se vend trop bien qu’il n’y a pas de stock

Prix du meilleur nouveau site ?
Paul & Joe, contre Asos !
Agence « Oniby » ? E-commerce délégué

« Magasine de mode en ligne »

Meilleure innovation
Amazon pour ipad, Vente Privée ou Voyage SNCF
Voyage SNCF pour le billet dématérialisé
Prépare le M-Billet
1/3 des billets vendus sont dématérialisés

Social commerce
Fnac spectacle, La redoute, Vestiaire de copines
Comment déterminer quel est le meilleur site ? Etude
– Niveau d’intéraction sur le site (nombre de like)
Identifier les 30 sites ayant le plus d’interaction

Ensuite, analyse des stratégies sociales : qualité de l’intégration, qualité de l’annimation commerciale, réactivité, …
Le vainqueur est vestiaire de copines
Site de moins de 2 ans
Exemple d’intéraction sociale : 3 millions
55 000 facebook fan
Recrutement des clients principalement social
Cela favorise le repeat business
3% de la base achète et vend tous les mois

Blog e-commerce : info-ecommerce.fr

Meilleure publicité télé
jechange.fr

Meilleure communication
Envie de Fraise, pour une publicité juste avant l’acouchement de Carla, sur la une de libé 😉

Prix de la performance
Analyse avec une grille d’analyse
Yves Rocher

Prix du meilleur espoir e-commerce
Bronze : Menlook.com
Argent : Pompe-a-bierre.com
Or : Expertissime.com : panier moyen de 1300 € !!!

Prix des internautes :
Meilleur site m-commerce : Amazon
Amazon, premier site aux US : 2 Milliards $

Meilleur site de mode : Sarenza.com
450 marques, 25 000 modèles de chaussures
Quelle réaction par rappor à la concurence ?
Etre meilleur, et se différencier via l’international

Meilleur site de produits techniques : Rue du commerce
« 4000 sites en France font des ventes mobiles via Paypal »
Rue du commerce : « on est des survivant, on a passé le millénaire. Combien sont dans notre cas ? »
« 13 ans d’aventure »

Meilleur site Beauté : Yves Rocher
Jean Emile rosenblum : Annonce sur e-Merchant. Sortie du site Carrefour.fr + compte Celio
Cross canal : mini site par magasin

Meilleur site de produits culturels : Amazon.fr

Meilleur site de voyage en ligne : opodo.fr

Meilleur site de vente B2B  : LDLC Pro

Meilleur site de l’année 2011 : Amazon.fr

Allez, je file manger des petits fours, j’ai faim moi !

Comment aider les clients à s’y retrouver dans le catalogue produit ?

Avec la logique de la « long tail », les catalogues des sites e-commerce ont tendances à contenir de plus en plus de produits, dans des domaines de plus en plus variés.

Ce qui pousse également dans ce sens, ce sont les logiques de place de marchés, ou les sites marchands se mettent à vendre des produits proposés par d’autres marchands.

Mais, finalement, que le catalogue ait 1.000,  10.000, 100.000 ou plusieurs millions de références, la question est importante.

Quand je dois traiter un tel sujet, mon premier réflexe est d’aller voir ce que font les autres.

Amazon propose son menu vertical, calé a gauche :

Ce menu montre bien la stratégie d’Amazon, avec la moitié suppérieure du menu consacré aux bien dématérialisés : films, jeux vidéo, mp3, ebook.

Le choix des entrées de premier niveau, pour Amazon, ne doivent pas nécessairement représenter des entrées de tailles équivalentes (en nombre de références). C’est plutôt un vrai choix marketing.

On a donc 16 entrées de premier niveau, et chaque entrée couvre un univers plutôt large (à part pour les premières entrées numériques).

Une seule entrée par exemple, pour tout ce qui est électronique et ordinateurs ! Cela regroupe pas mal de choses :

Le menu est structuré en deux sous parties.

Là ou les choses sont plus étonnantes, c’est quand on trouve des instruments de musiques !

Cela met en avant la difficulté de l’exercice. Amazon doit chercher à garder les menus légers, donc sans trop d’entrées. Résultat, on se retrouve vite à mélanger des « choux et des carottes », ou plutôt « des choix et des torchons » 😉

Amazon fait donc le choix d’avoir des groupes « improbables » et de garder les menus légers, plutôt que de multiplier les entrées.

Quand on choisi une option, on arrive sur une page de ce type :

Une barre horizontale permet de naviguer parmi les principales entrées.

Surtout, Amazon propose à gauche tout un tas de filtres pour aider l’internaute à trouver son produit. On peut ainsi filtrer par prix, marque, ainsi que sur des sous catégories.

Le coeur de la page est occupé par du « push produits », ainsi que des liens vers des sous catégories.

Si on descend encore d’un niveau, on arrive sur les pages qui affichent les liste de produits :

La barre du haut reste la même.

A gauche, les filtres sont complètement adaptés à la catégorie courante (vidéo projecteur dans cet exemple) avec, par exemple, la taille de l’image projeté, ou la technologie du vidéo projecteur.

Bon, pour revenir à notre sujet, il ne faut pas oublier que si on dispose d’un vrai moteur de recherche, on pourra mettre ce moteur en avant (ce que fait amazon en l’occurrence) et permettre à bons nombre d’internaute de trouver plus vite ce qu’ils cherchent.

D’autres sites proposent des axes multiples d’entrées dans le catalogue.

Exemple avec Timefy :

Le premier menu XXL propose une navigation par style, caractéristiques, couleurs, gamme de prix ou encore des catégories « marketing » : bests sellers, nouveautés, …

Les autres menus permettent de naviguer dans les montres par marque ou designer.

Sears, un des plus gros site US, a repris le menu vertical d’Amazon, mais le met en oeuvre très différemment :

Pas beaucoup d’entrées de niveau principal, mais le sous menu est très fourni, avec un très grand nombre de sous entrées, présentées avec une petite police.

Ce choix semble délicat, parce qu’il demande à l’internaute un long travail, avant d’identifier ce qu’il cherche.

Headict, spécialiste de « tout ce qui se met sur la tête », propose également un menu XXL :

La très bonne idée d’Headict est de faire un mix entre des images très explicites et du texte. Cela permet d’optimiser le référencement naturel et de faciliter le choix du client.

Ce genre de petites images est à double tranchants : si les images ne sont pas très signifiantes, elles sont à proscrire. Là, elles sont nickel parce qu’elles sont suffisamment grandes et qu’elles guident bien le client.

Bon, ce sujet mériterais une analyse bien plus poussée qu’un simple billet ;).

Je vais donc conclure :

A priori, il vaut mieux éviter « trop de lecture » et proposer des menus clairs, très facile d’accès.

Si on dispose d’un moteur de navigation à facette, c’est une bonne idée que de limiter le nombre de catégories, d’aplatir le catalogue, pour proposer rapidement les produits, et guider l’achat par l’usage des filtres.

C’est souvent une bonne idée que de proposer plusieurs clés d’entrés dans le catalogue. Il faut bien avoir en tête que les catégories principales ont un impact très fort sur l’image du site, puisque ces catégories seront visibles un peu partout sur le site.

 

C’est Jeudi, c’est Favori

Tous les ans, la Fevad organise une « fiesta e-commerce » : les Favori.

C’est l’occasion de se rencontrer, d’échanger, de partager, …

Cela permet de faire du « bon buzz » sur notre domaine préféré. Objectivement, je pense que la Fevad fait un super boulot de lobying pour le e-commerce, et c’est plus qu’indispensable, face aux politiques de tous poils qui 1) cherchent toujours de nouvelles sources de revenus et 2) ne sont pas « digital natives » si vous voyez ce que je veux dire ;).

Bon, les récompenses vont plutôt vers les très gros sites, mais grâce à l’excellente initiative d’Olivier, il y a maintenant un prix « espoir e-commerce », pour les sites jeunes et pleins d’avenir.

Je vous raconterais tout ça 😉

 

Les 10 ans de Vente Privée

En fait, l’histoire de Vente Privée a commencée en 1985, par la création d’une entreprise de déstockage.

En 2000, les fondateurs basculent le modèle physique vers Internet, avec une offre différente des sites e-commerce classique : catalogue éphémère, évènements quotidiens, prix « cassés » et attention à la mise en scène des produits.

En 2004, les choses commencent à vraiment démarrer.

En 2005, la croissance est de 500%.

Aujourd’hui, l’entreprise est présente dans 8 pays européens : France, Allemagne, Espagne, Italie, Grande-Bretagne, Belgique, Autriche, Pays-Bas et depuis début Novembre, aux US avec Amex.

Le chiffre d’affaires sur 2011 devrait dépasser le milliard €, via 14 millions de membres.

10% du chiffre d’affaires est généré depuis les mobiles.

Quelques chiffres complémentaires :

  • 1400 employés
  • 41 Millions de produits vendus en 2010
  • 2 Millions de visiteurs uniques par jour
  • 160 000 m2 d’entrepôts
  • 1450 marques vendues via le site
A suivre !

La solution pour limiter les réunions à ralonge

Les réunions à ralonge, vous connaissez ?

Il y a trop de monde, la réunion dure trop longtemps, sans être vraiment pilotée…

Bref, on perd du temps.

Je pense que ce gadget est intéressant :

Vous entrez le cout moyen par personne, le nombre de personnes.

Après, vous lancez le chrono, et ce gadget affiche le cout de la réunion.

Bon, je pense que c’est à manier avec precaution, parce qu’il n’est pas forcément très sain de mettre trop de pression. De même, il peut être très utile de « perdre un peu de temps »… Mais si il y a abus, vous pouvez dégainer ce gadget, ça doit calmer je pense 😉

Les règles pour éviter la fraude

Les sites de vente en ligne sont sujet à plusieurs types de fraudes.

Mais il existe des moyens d’identifier la plupart de ces fraudes.

Comment ?

voici les règles :

Et non, je partage à peu près tout sur ce blog, mais je ne donnerais pas ces règles 😉

Pourquoi ?

Pour une seule raison : je ne veux pas que ces règles soient publiques. Sinon, elles perdraient instantanément leur valeur, étant connues des fraudeurs.

Si vous avez un site, vous pouvez me contacter, ou contacter d’autres spécialistes.

Il existe également des sociétés spécialisées dans la détection des fraudes, comme Fia Net.

Patrice Cassard récidive et sort un nouveau site : neeed

Neeed est un tout nouveau site, imaginé par Patrice.

Donc Neeed : ce site propose à chacun de se créer des listes de produits, trouvés sur des boutiques en ligne.

L’enregistrement se fait via son compte Facebook ou Twitter.

Une fois enregistré, on ajoute un raccourci à son navigateur.

Ensuite, on va sur n’importe quel site, sur n’importe quel fiche produit. Un clic sur le raccourci permet d’afficher un cadre autour du produit à ajouter :

Un clic sur le bouton « Ajouter » permet de compléter les informations sur le produit :

Les informations à ajouter sont très simples : catégorie, et gamme de prix.

Ensuite, le produit est automatiquement ajouté à la liste de mes produits sur Neeed :

On constitue sa liste à partir de produits trouvés sur d’autres sites donc, mais également à partir des produits identifiés par d’autres membres de la communauté Neeed.

Il s’agit donc d’un réseau social, ou chacun a sa propre liste de produits préférés. On peut suivre d’autres membres et donc être suivi.

J’ai trouvé le site très très bien fait, le design vraiment super

Si vous testez, n’oubliez pas que le site est en « alpha » : tout n’est pas fini.

Je suis pour ma part convaincu qu’il y a de la valeur à créer des services de qualités, entre les consommateurs et les sites marchands, donc pil poil sur ce type de positionnement.

Des services de ce type existent aux US : SvpplyFancy ou Lyst.

A suivre : comment l’usage va se développer, et  quel sera le modèle économique le mieux adapté ?

(autres infos ici, merci à Olivier)

 

 

Les outils pour enrichir le CSS

Le CSS, c’est le langage qui permet de faire la mise en forme des pages web.

Cela permet de séparer le fond de la forme : le HTML contient le fond (le texte en particulier), et la décoration se fait via le CSS (la police, la taille, les bordures, …).

Bon, ça, c’est la théorie ;).

Dans la pratique, écrire une couche présentation en CSS est très technique, avec certaines parties plutôt répétitives et impossible à factoriser. Exemple : un site utilise une palette de couleurs. Impossible, en CSS, de définir des constantes avec ces codes couleurs.

Sinon, quand on n’arrive pas à faire ce qu’on veut en CSS, on le fait en Javascript.

Certains proposent d’améliorer tout ça avec des « méta langages » au dessus de CSS.

Exemples : SASS, LESS, …

SASS est une technologie côté serveur, on passe son code CSS enrichi dans la moulinette SASS et ça ressort un code CSS standard.

Si j’ai bien compris, LESS permet à peu près la même chose, avec une technologie Javascript, qui peut être côté client ou serveur.

Je ne rentrerais pas dans le détail, ce n’est pas l’objet de ce blog.

Je trouve que c’est une super bonne idée, que de proposer des langages, ou méta langages, qui permettent de programmer plus propre, plus court.

Mais cela ouvre la voie suivante :

Le code que j’écris n’est pas le code envoyé côté client.

Avantage : le code que j’écris est plus court, de meilleure qualité.

Inconvenient : ce que je vais débuggé n’est pas ce que j’ai écrit.

Mon avis, très clairement, est que c’est bien l’avenir !

Je pense depuis longtemps qu’à moyen terme, les langages du web n’ont pas vocation à être manipulés directement : ce sont, de mon point de vue, des langages de trop bas niveaux, avec des contraintes beaucoup trop complexes. Je pense bien sûr en particulier au problème de multi-terminal / multi navigateur.

Pour prendre une analogie, cela me fait penser au Postscript : c’est un langage de bas niveau pour piloter les imprimantes (ou autres interfaces d’ailleurs). Mais personne n’aurait l’idée d’écrire à la main du code Postscript !

J’ai donc la conviction qu’il devrait sortir des systèmes qui vont bien plus loin dans cette voie :

C’est une voie étroite, parce que, de mon point de vue, ces systèmes doivent être spécifiques web, alors que ce qu’on voit bien souvent, ce sont des frameworks génériques, et je ne crois pas du tout à cette approche.

C’est pour cela que je trouve les initiatives type LESS ou SASS particulièrement intéressantes : on améliore la qualité, de manière très spécifique au Web.

Et vous, qu’en pensez vous ?

Quand l’image sort du cadre

On le dit, on le répète : pour un site e-commerce, la qualité des photos est un élément clé.

Maintenant, quand on a de belles photos, il faut les mettre en avant !

Certains sites proposent des photos de plus en plus grandes.

Le site KillSpencer, trouvé au hasard de surfs, va très loin.

Page d’accueil  :

Un peu dans l’esprit de ce que fait Apple, la home met en avant un énorme visuel.

Bon, apple va plus loin puisque leur home ne met en avant qu’un seul produit, alors que là, il s’agit d’un slider, qui fait défiler 10 images XXL.

Sur sélection d’une catégorie, on arrive sur une page comme ça :

Là encore, ce qui est mis en avant, ce sont les photos des produits.

Et voilà la fiche produit :

On est sur une charte qui pousse le minimalisme jusqu’au bout. Il n’y a pas de texte de description sur cette fiche !

Et l’ensemble des actions sont en superposition, par dessus la photo, dont le bouton d’ajout au panier.

En fait, il faut cliquer sur le bouton, en bas à gauche, pour afficher une description en superposition :

Je vous épargne le processus achat, plus classique.

Alors, bonne idée ou pas ? Un des points à valider, c’est si cette façon d’afficher le texte est « SEO friendly ». Qu’en pensent les experts ?