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News de Lengow

Lengow, vous connaissez, c’est une solution qui permet de publier son catalogue sur… tout un tas de sites : moteurs de shopping, places de marchés, …

Lengow se développe très bien.

Je pense qu’on peut objectivement dire que c’est en France la solution leader, tant d’un point de vue fonctionnel que commercial.

Lengow c’est aujourd’hui :

  • Plus de 600 clients
  • 720 exports différents (Lengow permet donc de publier son catalogue vers potentiellement des centaines de cibles différentes)
  • Une base de donnée de 58 millions de produits !!!

La solution est commercialisée en France, Allemagne, Espagne, Canada, Uk

Le modèle full SAAS rend se développement commercial plus facile. Un bureau peut être ouvert en 2 mois.

Pour Mickael, avec qui j’ai discuté ce matin, le pricing de Lengow est bien adapté au marché. Pour rappel, le prix dépend de la taille du catalogue et du nombre de flux sortants, à partir de 99 € par mois.

Cela veut dire que tous les clients disposent du même outil, avec 100% des fonctions.

Mickael donc me disait que le pricing était plutôt bien accepté, parce qu’il est très facile à prévoir (pas de hausse du prix en période d’affluence), et qu’en plus, les outils proposés par Lengow permettent très rapidement de faire la preuve du ROI de l’outil.

Lengow a de très belle références, qu’on peut voir sur le site (elles sont discrètes). Citons : Wonderbox, La Redoute, Castorama, 3Suisses, But, Fnac, Decathlon, …

So far so good comme on dit 😉

 

 

Netwave WebSales Booster : une nouvelle solution pour pousser les bons produits aux bons moments

Améliorer son taux de transformation, augmenter le montant du panier, tout e-comerçant souhaite cela.

Conséquence, pas mal d’acteurs vous abordent, avec cette promesse.

Vous allez sur un salon e-commerce, ou e-marketing, et beaucoup de boites font cette proposition : « Améliorez votre taux de transformation ».

Et c’est vrai que pour faire ça, on peut jouer sur de très nombreux facteurs : la qualité du site, la qualité de l’offre, les temps de réponses, …

Parmi cet ensemble de possible, une famille de solutions vous proposent d’atteindre ces objectifs, amélioration de la performance commerciale du site donc, en vous aidant à proposer les bons produits aux bons moments.

Là encore, on peut atteindre cette promesse de plusieurs façons. Celle qui nous intéresse aujourd’hui, c’est le « push » de produits ou d’informations, en complément des pages.
Il s’agit de ces encarts, un peu comme des publicités sur les sites.

Ce sont par exemple des produits mis en avant sur la home page ou sur des pages listes.

Ce sont des suggestions d’autres produits « intéressants » suggérés sur les pages produits.

Ce sont d’autres propositions, pour compléter le panier, sur la page panier.

On peut trouver encore bien d’autres exemples… (allez voir sur Amazon si vous voulez des idées 😉 )

Pour faire ça, on peut essayer de gérer des liens entre les produits, qui permettrons de pousser les bonnes informations, en fonction du contexte.

Mais ce travail manuel a plusieurs limites :

  • Il devient vite fastidieux, parce que la combinatoire est très élevée.
  • Plus embêtant, comment savoir quels sont les bonnes propositions à faire ?
  • Encore plus grave : suivant le contexte, les éléments à pousser peuvent être très différents.

Si on ne peut pas faire le travail à la main, il va falloir le faire de manière automatique.

Cette longue introduction pour vous parler de Websales Booster.

C’est une nouvelle solution, développée et commercialisée par NetWave (ancien Linea Soft).

Leur solution fait exactement ce dont je viens de parler :

  • Des capteurs permettent de « savoir » ce que fait l’internaute,
  • Des « règles métiers » permettent d’en déduire ce qui semble intéressant de « tester » auprès de l’internaute
  • Des « templates » permettent de pousser les différentes informations aux bons endroits.

La solution se met en oeuvre avec une intégration technique, qui doit pouvoir être plutôt légère (5 à 10 jours).

La solution démarre sur un mode « apprentissage » d’un mois. Durant cette phase, le moteur ne fait aucune suggestion, mais « apprend » à partir de ce qui se passe sur le site.

Ensuite, le moteur commence à pousser ses propositions. Cette bascule est progressive : au début, le moteur ne fait des suggestions que sur une petite partie des internautes (5% par exemple).

Avantages :

  • Si les suggestions ne sont pas bonnes, cela n’impacte pas l’ensemble du site.
  • Cela permet de faire de l’AB testing, et de comparer la performance de la solution

La solution cible plutôt les gros sites, voir les très gros.
Un élément qui pousse Websales a aller dans cette direction, c’est que la solution a besoin de beaucoup de données, qui sont donc difficile à collecter sur les « petits » sites.

La solution est vendue en mode SAAS, avec un prix de 10 000 € pour 1 millions de visiteurs traités.
Autrement dit, le visiteur traité coute 1c €.
Le client achète un « pack » de millions de visiteurs à traiter (exemple : 6 packs pour traiter 6 millions de visiteurs). Ensuite, dès que la « réserve » de visiteurs à traiter est consommer, il doit racheter des packs.
Bien sûr, l’achat de packs est dégressifs.

La solution est actuellement en Beta test, sur plusieurs sites.

A suivre !

Outil de wireframe élastique ?

Bon, une fois n’est pas coutume, ceci n’est pas un article, mais une question ;).

Je recherche un outil, pour faire des wireframes.

Vous savez, des modèles de pages, des templates « fil de fer ».

Mais ce dont j’ai besoin, c’est d’un outil pour faire des wireframe elastiques.

Elastique ?

Oui, pour définir un site, avec des pages qui s’adaptent à la largeur de l’écran (comme Amazon quoi).

Les outils, je connais Powerpoint, Axure, Justinmind… Mais je n’ai pas trouvé d’outil permettant d’exprimer les contraintes d’élasticité.

Dommage… A l’époque, avec le NeXT, il y avait un outil de conception qui avait une représentation graphique assez sympa pour représenter ces informations (Interface Builder).

On pouvait relier les objets entre eux, soit avec « une ficelle », dans ce cas, la distance entre les objets doit être constante, soir avec « un élastique », et dans ce cas, la distance peut changer.

Classer les produits d’un site e-commerce, trop facile !

Comment classer les produits sur un site e-commerce ?

Classer les produits ? C’est simple.

Prenons un exemple : une librairie en ligne (j’aurai pu prendre n’importe quel exemple…)

On va classer les livres de manière thématique, comme en librairie : Les romans, les essais, les livres touristiques, les livres sur le sport, …

Bonne idée ;).

Sauf que, sauf qu’on peut aussi classer les livres par auteur.

Heu, on peut également classer les livres par collection (Pleïade, Poche, …).

Hum, il serait mieux de classer les livres par date de sortie.

Au fait, on veut pouvoir faire des classement marketing : la fête des mères, la saint Valentin, Noël, ….

Bon, vous l’avez compris, il n’y a pas qu’une clé d’entrée. Pour tout catalogue, en se creusant un peu la tête, on trouve plusieurs façon d’entrer.

Et ne croyez pas que ce n’est pas important !

Ce qui est en jeu, c’est le taux de transformation du site, et son référencement naturel.

Le taux de tranformation, parce que l’internaute trouvera, ou pas, ce qu’il cherche, en fonction de ces choix de navigation.

Le SEO parce que ces clés d’accès impactent le référencement naturel.

Bon, la chance qu’on a avec le numérique, c’est qu’on peut créer plusieurs clés pour un seul site.

On peut, pour rester sur notre exemple, classer les livres par thématiques, et par auteur.

Mais on doit faire des choix, il n’est pas raisonnable de tout proposer à l’internaute.

Alors, comment choisir ?

C’est une bonne question ;).

A mon sens, c’est un travail itératif. On commence d’une certaine façon, qui nous semble la meilleure. On s’appuie sur l’expérience interne (ce qu’en disent les commerciaux habitués à vendre aux clients). On doit aussi prendre en compte l’avis du SEO et de l’ergonome.

Ensuite, on analyse ce qui se passe sur le site, et on adapte au fur et à mesure.

Pouvoir faire ça, ça veut dire plusieurs choses :

1) On doit être capable n’analyser ! Ce n’est pas si évident que ça. Cela veut dire qu’on aura défini des indicateurs permettant de mesurer la performance de telle clé d’entrée, par rapport à telle autre.

2) On doit avoir un moteur e-commerce capable de gérer des arborescences riches et multiples. Les produits doivent pouvoir être dans plusieurs catégories simultanément.

3) La solution en place doit avoir été suffisamment bien faite pour qu’il soit possible de « jouer » avec les catégories : on doit pouvoir modifier les clés de navigations, sans avoir à tout refaire.

Enfin, il faut bien voir que les différentes clés de navigations s’entrecroisent. Ce que je veux dire, c’est qu’on doit pouvoir utiliser une clé comme filtre, quand on rentre dans le catalogue avec une autre clé. Exemple : je rentre dans le catalogue par le thème « Roman contemporain ». Je peux ensuite filtrer par auteur, date de parution, prix. Réciproquement, je rentre dans le catalogue par auteur. Je peux ensuite filtrer par thématique. Là encore, l’outil e-commerce doit le permettre.

Alors, comment on le classe, ce catalogue 😉 ?

Livre blanc sur le clic to call, par iAdvize

Le clic to call permet d’aider le client à entrer en relation avec le marchand. C’est donc une bonne idée pour réduire les distances, et améliorer le taux de transformation.

iAdvize est une solution qui se développe bien d’après ce que j’entends 😉

Ils bénéficient maintenant d’une bonne expérience sur ces sujets.

C’est donc intéressant d’écouter ce qu’ils ont à dire. Ils viennent de sortir un livre blanc.

Voici quelques slides de présentation :

La création de valeur autour de Facebook

Facebook vient de m’envoyer une infographie, pour illustrer la création de valeur, estimée, en europe, autour de cette application.

Je la publie ici, vous la trouverez sans doute un peu partout. Il serait intéressant de connaitre la méthodologie employée pour arriver à ces chiffres.

Ceci dit, une chose est sûre : Facebook est une énorme machine, c’est devenu un « web dans le web », des tas d’utilisateurs y passent des heures.

Le frein au changement est assez fort, puisqu’on a tous ses amis sur Facebook, et pas sur un nouveau système (voir la peine qu’à Google+ à décoller).

Donc, Facebook doit évidemment être travaillé avec une attention toute particulière.

Et puis, ce qui est également certain, c’est que ce business en est à ses tout débuts. ça ne peut que croitre très fort dans les prochaines années !

Voici le document donc :

L’élasticité des prix

Le prix, voilà un sujet qui ne me lasse pas 😉

Quand il s’agit du prix d’un système d’information e-commerce, l’élasticité est phénoménale, puisqu’elle va de quelques milliers d’euros à plusieurs dizaines de millions d’euros.

Mais ce n’est pas le seul domaine ou les prix ont une élasticité étonnante.

On prend a peu près n’importe quel sujet, et on peut voir des prix qui varient d’un facteur 10, 100, voir plus.

Exemple ?

Pour illustrer ce propos, il m’arrive de prendre l’exemple du prix d’une ceinture ;).

On trouve des ceintures (modèle femme) pas cher à partir de 3 € 50.


A l’autre bout de la chaîne, on trouve des ceintures à plusieurs centaines d’euros.

 

En cherchant bien, je suis sûr qu’on pourrait trouver encore plus cher. Mais bon, déjà, on est avec un facteur 200 !

Vous allez me dire : ce n’est pas le même produit, pas la même matière, pas le même travail, pas la même marque, …

C’est vrai !

Il n’en reste pas moins vrai qu’il s’agit de deux ceintures ;).

 

Exemple de progrès à faire sur les sites marchands – Mémoriser les préférences entre les pages

Pas mal de sites proposent des outils permettant de naviguer dans les produits via des filtres.

Exemple sur Amazon, pour choisir ses chaussures en fonction de leurs tailles (pleins d’autres le font) :

Quand on sélectionne un produit, on arrive sur la fiche produit :

Comme vous pouvez le voir, la taille n’est pas sélectionnée, alors que qu’on a déjà indiqué, sur la pagé précédente, la taille recherchée.

Détail me direz vous ?

Oui, mais au final, une expérience d’achat de qualité, c’est tout un tas de petits détails bien pensés.

 

News de Rue Coquette

Comme je vous l’avais dit, j’avais envie de monter une activité e-commerce, en complément de l’activité de conseil.

Ma femme souhaitant changer de métier (après avoir été professeur des écoles), c’est devenu une aventure familiale 😉 (sans compter sur les coups de main de Pauline).

Rue Coquette est un site qui vend des bijoux de créateurs, plutôt parisiens (mais pas exclusivement).

La boutique a été ouverte en Avril.

Bien sûr, le secteur est encombré, on n’est pas les premiers à ouvrir une boutique de bijoux en ligne, et on le savait depuis le début.

Mais on avait analysé qu’il y avait une opportunité. Sur un secteur comme celui là, il existe tout un tas de niches, qui restent accessibles.

Et cela commence à porter ces fruits. Pour une boutique lancée il y a quelques mois, Noël c’est particulièrement bien passé, puisqu’on a eu 4 à 5 commandes par jour sur décembre.

Le site a subi un petit relifting, on a introduit une couleur un peu plus flashy pour donner un peu de relief.

Ce qui nous rend optimiste pour la suite c’est :

  • Les feed back des clients, qui disent apprécier la collection et notre réactivité (ça fait vraiment plaisir !)
  • Les feed back des marques, qui nous contactent pour travailler avec nous.

Bien sûr, il reste beaucoup à faire… C’est un « long chemin ».

Le SEO est très perfectible, Facebook n’est pas installé sur le site, plus tout un tas de choses qu’on voudrait bien ajouter…

UPDATE

Newquest vient de mettre en ligne les liens vers facebook 🙂

Conception du site e-commerce – Quels critères pour décider ?

Concevoir un site, c’est, sur chaque page, sur chaque élément du site, se poser tout un tas de questions.

Doit on ajouter telle option sur telle page ?

Et si l’internaute veut faire ceci, ou cela ?

Si on est plusieurs autour de la table, les idées vont fuser, et cela permet d’être sûr de bien regarder les choses sur plusieurs angles de vues.

C’est très bien.

Sauf que…

Sauf que, si on avance comme ça, on va rajouter tout un tas d’options, de liens, de boutons.

Le site va être « boursouflé ».

Le site est conçu sans cohérence, sans ligne claire.

Surtout : on ne drive pas la conception en fonction de critères de performance : principalement SEO et performance commerciale.

Il est fondamental, dans cette phase, de définir et de garder ces objectifs en tête.

L’objectif n’est pas que l’internaute puisse faire facilement ceci ou cela.

L’objectif est de vendre plus ! (je sais, je suis un poète…)

Pour cela, on doit plutôt simplifier le site, de manière à ce que les choses apparaissent comme très claires, comme évidentes pour l’internaute.

Et, je le dis souvent, faire simple, c’est compliqué.

C’est compliqué parce qu’il faut arbitrer, arbitrer entre ce qu’on doit garder et ce qu’on doit retirer.

A ce stade, c’est souvent bien utile de faire appels à des pros ;).

Mais personne n’a la science infuse. Tout site doit faire ce travail de manière itérative.

Faire de manière itérative, cela veut dire bien mesurer ce qui se passe sur le site. Cela veut donc dire mettre en place les outils d’analytics… avec la mise en place d’indicateurs adaptés aux questions qu’on se pose (aller au delà du paramétrage par défaut donc).

Cela veut dire aussi, si possible, faire des tests AB.

Tout un programme !