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Comment gagner 25% de CA en plus avec un moteur de recommandation personnalisé ? Conférence gratuite

Vous connaissez e-commerce live ?  Ce site vous propose des conférences en lignes, gratuites. C’est donc une sorte de salon virtuel : vous accédez aux infos dont vous avez besoin, sans avoir à vous déplacer. Et bien ce site change de nom et de focus, et devient webikeo

J’animerai une conférence sur l’amélioration de la performance, grâce à l’utilisation d’une solution de recommandations personnalisées :

  • Qu’est-ce qu’apporte réellement un moteur de recommandation personnalisées ?
  • Quels sont les sites adaptés à ce type de solution ?
  • Les différents types de solutions
  • Quelles pages personnalisées ?
  • Up selling / Cross selling : Comment bien « régler » son moteur

Et bien d’autres choses 😉

C’est le 12 juin, de 10h à 10h45.

Pour tout savoir et vous inscrire, c’est par ici.

Conférence sur le bon usage d'une solution de recommandations personnalisé

 

Quel est votre taux de transformation ?

On l’appelle « concrète », TTR, Transfo, …

On l’appelle comme on veut 🙂

Le taux de transformation, c’est le rapport entre le nombre d’achats sur le nombre de visiteurs.

Pour certains site, le taux de transformation est inférieur à 0,3% alors que pour d’autres il est supérieur à 20% (ok, en B2B) !

Comment expliquer de tels écarts ?

Les taux de transformations sont ils les mêmes dans un secteur donné ?

Capitaine commerce propose une étude afin de mieux connaitre les taux de transformation des sites.

Je m’associe à cette étude, aux côtés de Skeel Box, et vous propose donc de répondre au questionnaire en ligne.

Les réponses seront bien sûr anonymes, donc vos données sont protégées.

Merci 🙂

Le contexte législatif évolue pour le e-commerce avec la loi Hamon : comment s’y préparer

La loi Hamon arrive. Trusted Shops a rédigé dans un livre blanc les éléments clés pour adapter son site. Voici un résumé de ces 10 conseils :

Le 13 juin 2014, les obligations légales des boutiques en ligne seront révolutionnées par la loi Hamon. Droit de rétractation, tunnel de commande, frais de livraison : des changements en profondeur sont prévus. Pourquoi s’y prendre à la dernière minute alors qu’il est d’ores et déjà possible d’anticiper ces évolutions et de vous y adapter ?

Trusted Shops a rassemblé dans un livre blanc 10 actions à entreprendre dès aujourd’hui pour une mise en conformité ponctuelle et sereine.  Y-sont exposées les nouvelles règles mais surtout des conseils pratiques pour leur application ainsi que des modèles d’application.

1/ Relire les clauses de vos CGV sur la livraison

Sont désormais expressément interdites les clauses faisant peser les risques du transport de biens livrés sur le consommateur. Notamment lorsqu’ils sont acheminés par un transporteur proposé par vos soins.

En pratique: relisez vos clauses sur le transport et supprimez toutes celles laissant croire au consommateur qu’il est responsable des risques engendrés par le transport. A noter que la proposition d’une assurance de transport, comme option supplémentaire payante dans le processus de commande, correspond également à une pratique interdite car abusive.

2/ Fournir la bonne information au bon endroit

Les obligations d’information de l’internaute sont renforcées et les textes précisent à quel endroit ces informations doivent être fournies. Toutes les informations indiquées sur votre site avant la conclusion du contrat avec l’internaute doivent être confirmées, c’est-à-dire reproduites à l’identique dans le courriel de confirmation, envoyé au consommateur suite à sa commande.

En pratique:la clause la plus novatrice concerne les moyens de paiement proposés et les restrictions de livraison (géographiques par exemple). Ces informations devront apparaître au plus tard dans le panier d’achat, au début du processus de commande.

3/ Ajuster le nom du bouton de commande

Après votre rappel au consommateur de la description du produit/service commandé et du prix total à régler pour son achat, il doitreconnaitre explicitement son obligation de paiement en la validant par un clic sur un bouton dénommé « commande avec obligation de paiement » (ou toute formule analogue dénuée d’ambiguïté). Ce clic doit se produire avant la réalisation du paiement.

En pratique: dans certaines boutiques, il suffira de changer le nom du bouton de commande. Dans d’autres, le tunnel de commande devra être reprogrammé, par exemple pour que le clic intervienne bien avant la réalisation du paiement.

4/ Décocher les cases cochées par défaut

La loi Hamon prévoit de faire disparaitre la pratique d’ajout d’options entrainant un paiement supplémentaire au panier du consommateur, sans que celui-ci ne les ait véritablement choisies. Si le consommateur est amené à payer des options pré-cochées et non voulues, il pourra alors réclamer un remboursement des sommes versées en vertu d’un consentement « par défaut », et ce même si vous aurez déjà effectué la prestation correspondante.

En pratique: passez en revue votre site à la recherche de cases à cocher pour des options supplémentaires, notamment sur les pages produits ou dans le processus de commande. Par exemple, sur la page de choix du mode de livraison, l’option choisie par défaut devra être celle correspondant à la livraison standard la moins chère.

5/ Anticiper les changements du nouveau droit de rétractation

Il s’agit de la plus grosse réforme apportée par la loi Hamon dans le cadre du e-commerce. Préparez vos nouveaux textes et conservez-les en lieu sûr afin de pouvoir les mettre en ligne dès le 13 juin 2014.

En pratique: pour vous conformer aux nouvelles règlementations, prenez des décisions stratégiques quant à la mise en place des changements et de votre processus interne pour traiter les retours de marchandises :

– déterminez votre politique en matière de frais de transport: en cas de rétractation, les frais d’envoi doivent être remboursés dans la limite de la somme correspondant au mode d’envoi standard le moins cher que vous proposez.

– adaptez votre procédure interne de traitement des retours: désormais le consommateur doit vous informer par écrit, sous 14 jours, de son intention de se rétracter. S’ensuit ensuite un nouveau délai de 14 jours pendant lequel il vous retourne le produit et vous devez effectuez le remboursement.

– prévoir une mise en place technique: à l’avenir la loi vous impose de mettre à disposition du consommateur un formulaire standardisé pour la rétractation du consommateur.

– mettre à jour les CGV et les pages d’information client: les FAQ et la description de la procédure de retour.

6/ Etudier la possibilité d’écarter le droit de rétractation

La loi prévoit de nouvelles exceptions au droit de rétractation, voire sa disparition, dans des cas précis.

En pratique: – si vous vendez des sous-vêtements ou des cosmétiques : vous pourrez sous certaines conditions vous référer à l’exception visant les biens « qui ont été descellés par le consommateur après la livraison et qui ne peuvent être renvoyés pour des raisons d’hygiène ou de protection de la santé ».

 si vous vendez des services ou du contenu numérique en ligne : le consommateur bénéficie en principe d’un droit de rétractation de 14 jours, pendant lesquels vous n’avez pas l’obligation d’exécuter le contrat. Si le consommateur souhaite une exécution immédiate (télécharger un e-book par exemple), il doit vous en faire la demande expresse. C’est sous celle seule condition que vous pourrez exclure le droit de rétractation. Pour recueillir sa demande expresse, vous devez l’informer des conséquences sur son droit de rétractation. Il est recommandé de mettre en place dans le processus de commande une case à cocher obligatoire pour valider la commande.

7/ Reformuler vos courriels de confirmation de commande

La loi Hamon va imposer aux e-marchands de faire parvenir au consommateur, après la conclusion du contrat, une confirmation contenant toutes les informations essentielles énumérées par les textes, sur un « support durable ». Ce support doit permettre à l’internaute de stocker les informations et de pouvoir s’y rendre ultérieurement ou les reproduire à l’identique.

En pratique: privilégiez la fourniture des informations dans le courriel de confirmation de commande, qui est déjà standard dans toutes les boutiques en ligne.

 8/ Former vos équipes, contacter vos partenaires

Vos équipes et en particulier votre service client et comptabilité devront être préparés aux changements affectant votre boutique.

En pratique:à partir du 13 juin, vos collaborateurs devront être capables de mettre en œuvre vos nouvelles procédures, notamment en ce qui concerne les retours et les remboursements.

Contactez également vos partenaires pour la livraison afin de proposer des tarifs attractifs pour les retours de produits ou simplement offrir de nouvelles options de livraison à vos clients.

9/ Sauvegarder vos documents contractuels actuels

Tous les contrats conclus avant le 13 juin 2014 resteront soumis à l’ancienne législation. Il est donc très important de conserver une version de vos CGV actuelles et de ne pas faire les changements directement dans les textes en ligne. Ceci vaut également pour vos FAQ et pages d’informations.

10/ Se tenir à jour

Un décret d’application de la loi sur la consommation doit venir préciser la teneur exacte des obligations d’information et fournir un modèle pour le formulaire standardisé de rétractation. S’il est d’ores et déjà possible de s’orienter au vu des normes européennes, il n’est pas à exclure que les textes d’application de la loi française apportent des précisions détaillées pour une mise en conformité optimale.

Vous pouvez télécharger le livre blanc ici : http://trustedshops.info/livreblanc1presse

 

un peu de juridique: les clauses pénales dans les contrats BtoB

Lassé de négociations (sans fin) sur les clauses pénales introduites dans les contrats que je rédige pour mes clients, je me décide, en ce jour de grâce du 17 mars 2014, de repartir sur les bancs de la Faculté et de faire un point sur la doctrine (JurisClasseur notamment) et la jurisprudence en la matière. Les explications qui suivent s’appliquent à tout type de contrat BtoB (pas seulement les contrats de service logiciel en mode « SaaS »). Ce type de clause est un « classique » des contrat avec garanties de niveau de service (les fameux « SLA »).

1 – La clause litigieuse

« En cas d’indisponibilité du Service ou de l’hébergement (hors fonctionnement de l’Internet et opération de maintenance programmée du Logiciel et de la plate-forme d’hébergement), pendant un délai plus long que celui visé à l’article xxx, le PRESTATAIRE est réputée manquer à ses engagements qualité, ce qui entraine l’application de pénalités forfaitaires. Les parties conviennent que les pénalités notifiées par le CLIENT au PRESTATAIRE et non- contestées par écrit par le PRESTATAIRE pourront être recouvrées par compensation avec le montant des sommes dues par le CLIENT au titre du Contrat. Les pénalités ne sauraient excéder par année civile d’exécution du Contrat cinq (5) % des sommes payées par le CLIENT pendant la même période. En cas d’atteinte du plafond des pénalités, chaque partie disposera du droit de résilier le Contrat. »

2 – Ce que dit la loi

2.1 – article 1152 Code civil

« Lorsque la convention porte que celui qui manquera de l’exécuter payera une certaine somme à titre de dommages-intérêts, il ne peut être alloué à l’autre partie une somme plus forte, ni moindre.

Néanmoins, le juge peut, même d’office, modérer ou augmenter la peine qui avait été convenue, si elle est manifestement excessive ou dérisoire. Toute stipulation contraire sera réputée non écrite. »

2.2 – articles 1226 Code civil

« La clause pénale est celle par laquelle une personne, pour assurer l’exécution d’une convention, s’engage à quelque chose en cas d’inexécution. »

2.3 – article 1229 Code civil (le plus méconnu – hélas)

« La clause pénale est la compensation des dommages et intérêts que le créancier souffre de l’inexécution de l’obligation principale.

Il ne peut demander en même temps le principal et la peine, à moins qu’elle n’ait été stipulée pour le simple retard. »

Les plus courageux iront lire les articles de référence et rechercher confirmation de ce qui suit dans leur documentation juridique (d’une lecture toujours palpitante)… Pour les autres, voici une brève synthèse de ce qu’il faut en retenir, sans trop abuser des termes « métier » propres aux juristes.

3 – A retenir

3.1 – La sanction…

Est une clause pénale tout clause d’un contrat qui prévoit, à titre de sanction,  l’indemnisation forfaitaire d’un  dommage causé par l’inexécution d’un contrat par une des parties. Quel que soit le titre ou le contenu de la clause (pouvoir souverain d’appréciation des juges).

3.2 – … d’une inexécution…

Il faut donc une inexécution (un « manquement » ou une « non exécution totale ou partielle » – pas besoin de « faute » en matière de responsabilité contractuelle) du contrat pour appliquer une clause pénale. Cette inexécution peut être le non-respect d’une obligation de fourniture chiffrée qualitativement ou quantitativement (niveau de service ou SLA, etc. – voir par exemple « La clause litigieuse » ci-dessus).

3.3 – … forfaitaire…

La somme prévue dans la clause pénale représente des dommages-intérêts fixés forfaitairement, quelle que soit l’importance du dommage. Tant mieux pour son bénéficiaire si son préjudice est moindre que celui du montant fixé dans la clause pénale. Tant pis dans les autres cas… Ici, la liberté contractuelle prévaut. Et le contrat fait la « loi des parties » (article 1134 Code civil).

3.4 – … révisable seulement par le juge

Seul un juge peut accorder une somme moindre ou plus forte lorsque la clause est « manifestement excessive ou dérisoire » (article 1152 Code civil). Et toute clause contractuelle destinée à l’en empêcher est nulle.

4 – Les exceptions (qui n’en sont pas !)

4.1 – Les intérêts de retard

Les « pénalités » mises à la charge d’un l’acheteur en cas de retard de paiement ne constituent pas une clause pénale. C’est le principe même visé à l’article 1229 Code civil (alinéa 2).

Pour cette raison, les dispositions de l’article L.441-6 du Code de commerce (qui encadre les intérêts de retard entre commerçants) ne peuvent être modulées à la hausse ou à la baisse par un juge. Et si le retard a causé un préjudice, celui qui a souffert du retard peut en réclamer librement l’indemnisation, en plus d’empocher les intérêts de retard prévus (ou non) au contrat. Car les intérêts de reatrd sont payable « de droit » nous apprend le Code de commerce (mais si aucune clause du contrat ne le rappelle).

4.2 – Les clauses de dédit

De la même manière, les clauses qui prévoient le versement d’une somme si une des parties fait un choix au titre du contrat, ne sont pas des clauses de pénalités.

L’exemple type est celui des clauses de « dédit » dans les promesses unilatérales de vente. Si une partie peut décider de verser 10.000 €uros en application d’une promesse de vente (qui n’est pas synallagmatique), la partie qui s’est engagée peut ne pas poursuivre la promesse, mais elle laissera les 10.000 €uros au bénéficiaire de la promesse.

Il n’y a donc pas inexécution de la part de celui qui a promis de payer, mais exercice d’un choix. Ce n’est donc pas une « pénalité ». C’est également en ce sens que tranche la jurisprudence actuelle pour les clauses prévoyant une « indemnité en cas de remboursement anticipé d’un prêt ». La clause pénale, elle, n’est pas l’expression d’un choix pour le débiteur. Seul le créancier (le bénéficiaire) de l’obligation peut décider (ou pas) d’en demander l’application.

5 – Conséquences

5.1 – Le montant prévu dans la clause et rien d’autre

Le bénéficiaire de la clause pénale (on l’appelle aussi le « créancier de l’obligation ») ne peut pas demander en plus l’indemnisation du préjudice causé par ce même dommage. C’est le principe même imposé par l’article 1229 Code civil.

Le bénéficiaire de la clause peut en revanche librement demander l’indemnisation de tout autre dommage, distinct, même s’il est causé par la même inexécution au titre du même contrat.

Bon courage pour apporter cette preuve…

5.2 – Pas de dérogation contractuelle

Le régime prévu par le code civil (en 1804) est d’ordre public. Ce qui signifie que les parties ne peuvent y déroger contractuellement, sauf pour les exceptions prévues par ces mêmes textes, ce qui est le cas de l’inexécution par retard (hypothèse du respect d’un calendrier d’exécution contractuelle assortie d’une pénalité qui est prévue à l’article 1229 alinéa 2 Code civil).

Les clauses stipulant que « la clause pénale n’est pas libératoire et n’empêche pas le [bénéficiaire de la clause] de solliciter l’indemnisation de son entier préjudice » est donc nulle.

Voilà. C’est dit !

6 – La clause d’astreinte: une solution ?

Hélas, les plus imaginatifs (ou tordus) des juristes  pourraient être tentés de remplacer le mot « pénalité » par les mot « astreinte » dans leur clause habituelle. Mais nos amis les juges (car les juges sont nos amis) ont bien prévu le piège et la jurisprudence est là pour nous le rappeler :

« Les clauses dites d’astreinte, dès l’instant qu’elles stipulent une pénalité en cas d’inexécution d’une obligation, ne sont que des clauses pénales » (voir à titre d’exemple Cour d’Appel de Paris 2ème ch. A 11 janvier 1994 ou Cour d’Appel d’Aix-en-Provence 1ère  ch. 27 mai 1992).

7 – A noter si vous transigez…

Lorsque les parties mettent un terme amiable à un litige judiciaire, né ou à naitre, elles peuvent convenir de « transiger » le différend par la signature d’un protocole d’accord. La transaction est un contrat qui a valeur de jugement de première instance, et met un terme définitif à un litige judiciaire, né ou à naitre. C’est donc avant tout un contrat. A ce titre, il est parfaitement possible de prévoir dans le protocole une « pénalité » en cas de non-exécution par l’une ou l’autre des parties de ses obligation au titre du protocole lui-même.

Nous renvoyons les amateurs du pur « style 1804 » à la lecture de l’article 2047 Code civil :

« On peut ajouter à une transaction la stipulation d’une peine contre celui qui manquera de l’exécuter ».

Dura Lex (mais) sed Lex !

Marc-Antoine Ledieu – Avocat à la Cour

contact@ledieu-avocats.fr

Rêves de bulles

Je vous propose aujourd’hui une interview, d’un community manager, pour la boutique Rêves de bulles. Il s’agit d’un certain Martin.

Bonjour Martin, peux tu nous expliquer quelle est cette boutique ?

Rêves de bulles vend des bd de collection.

Il y a souvent des sérigraphies, des dessins originaux…

Ce sont des éditions limitées, signées, numérotées.

Bref, il s’agit de produits d’exceptions pour les fans absolus de BD.

Ca doit coûter cher de tels produits ?

Pas tant que ça, on trouve des sérigraphies à partir de 15 € 🙂

Mais certains produits vont jusqu’à 300 €. Exemple : Largo Winch, en édition très limitée (150 exemplaire)

Quand on aime, on ne compte pas ;).

Peux tu nous en dire un peu plus sur cette boutique ?

Le site a été monté en fait par le fondateur d’Orphelins du monde, association qui, comme son nom l’indique, crée et aménage des orphelinats dans le monde.

Exemple : l’an dernier, l’association a bossé pour que les orphelins au Togo aient accès à l’eau tous les jours.

Cette année, le projet, c’est l’électricité.

Sympa :). Et toi, quel est ton rôle ?

Ma mission est d’augmenter le chiffre d’affaires de la boutique, pour mettre l’association Orphelins à l’équilibre.

OK. Et tu fais quoi pour atteindre cet objectif ?

Le contexte, c’est : un site d’ « ultra niche » avec une cible de vrais passionnés, et peu de moyens pour développer le trafic. Je suis donc parti sur l’idée de créer une communauté, et de l’animer très régulièrement pour la faire vivre et grossir.

Comment tu fais ça ?

J’ai commencé par aller là ou les passionnés vont, c’est à dire sur les forums. ça m’a permis de créer des liens entrants, via ma signature, et de ramener du monde sur la page Facebook.

Capture d’écran 2014-03-09 à 18.08.30

Mon objectif est de créer du contenu exclusif, prioritairement sur Facebook et sur les forums.

Et ça marche ?

Ben ça commence à prendre 🙂

On est parti avec 5 personnes touchées par jour via Facebook, et après le premier post, on est monté à 100 vues, puis 1000 sur la semaine !

Super !  Merci Martin, bonne continuation.

 

Spy commerce : ou l’intelligence économique appliquée au e-commerce

Quand on fait du commerce en général, et du e-commerce en particulier, il est important, voir vital, de bien connaitre en « quasi temps réel » ce que font les concurrents.

L’un des axes d’analyse fondamental est bien sûr le prix.

C’est vrai dans le monde physique, c’est encore plus important pour le e-commerce.

Pourquoi ?

Parce que les clients peuvent facilement comparer les prix. N’oublions jamais que l’internaute est, en ligne, à « un clic de la concurrence ». Et, à la différence avec le monde physique, quand on est dans son salon, on n’a aucune pression sociale pour sortir d’une boutique pour aller voir ailleurs.

Tout ça pour dire que, en ligne plus qu’ailleurs, faire de la veille active sur les prix pratiqué par ses concurrents est souvent vital.

Un de mes clients m’a parlé de l’extrême sensibilité de certains types de produits par rapport aux prix. Vous avez le « meilleur prix », soit 1 centime de moins que les autres ? Vous avez un beau flux de commandes. Un concurrent vous « vole la vedette » et propose le meilleur prix : le flux des commandes se prend une méchante claque, presque instantanément.

Alors, deux solutions : on fait ça à la main. ça marche, mais ça prend du temps. Vous avez 1000 produits ? Il va falloir faire le relevé très régulièrement de l’évolution des prix pour chaque produit, sur l’ensemble des sites ou le même produit est proposé.

Ouch !

Alors la solution est d’automatiser tout ça bien sûr. Pixmania avait, en son temps, développé des outils internes, permettant de faire de la veille automatique, et même d’adapter automatiquement les prix pour certains produits phares (avec des règles métiers pour fixer des limites, des plages horaires, …).

Spy Commerce, lancé il y a quelques mois maintenant, propose une solution plutôt bien adapté aux besoins du marché.

La question clé, pour une telle solution, c’est le matching entre les produits : comment identifier, sur les différents sites, les « mêmes » produits ?

D’ailleurs, « même produit », ça veut dire quoi ? Autant pour un modèle d’une marque, on voit bien, autant dans d’autres cas, c’est bien moins simple. Comment comparer deux draps par exemples ? Ou deux robes sans marque ?

La solution proposé par Spy, c’est de demander au marchand de faire lui même la réconciliation entre les produits. Une fois cet apprentissage fait, le système marche tout seul, fait sa veille régulièrement, envoie des alertes, affiche des tableaux de bords.

1-Dashboard

La solution s’est bien développée, avec une centaines de clients.

Problème de l’équipe : les clients ne veulent pas communiquer. Et ça se comprend… Mais je peux vous dire que Spy commerce est utilisé par de très grands noms !

Sebio : le e-commerce bio, made by Axome, powered with Target2Sell :)

Sebio.be est un site qui propose des produits bios, et c’est une bonne idée en ces temps « pollués » 😉

Page d'accueil de Sebio

Le site est plutôt bien fait, « made by Axome » 🙂

La fiche produit est, par exemple, très clair :

Exemple de fiche produit sur Sebio

Grand visuel a gauche, infos au milieu et bloc e-commerce à droite, avec les éléments clés pour commander (prix, dispo, et le bouton d’ajout au panier).

Je discutais la semaine dernière avec un grand pro du ecommerce qui me disais, à juste titre, à quel point respecter certains basics était fondamental, et pourtant souvent oublié.

Ici, les fondamentaux sont là 😉

Ah, j’oubliais (presque 😉 ) : Target2Sell est installé sur le site, pour booster les ventes !

Longue vie à Sebio donc 🙂

 

2014, bonne année pour améliorer la performance commerciale de vos sites e-commerce ;)

L’année a démarrée avec un bon rythme pour Target2Sell, qui me prend tout mon temps 😉

Cela ne m’empêche pas de vous souhaiter, à tous, une bonne année 2014 !

Si vous avez un site e-commerce, je sais bien que la concurrence est souvent rude, et les coûts d’acquisitions élevés.

Dans un tel contexte, améliorer la performance commerciale du site est clé.

Vous pouvez aller voir de bons consultants e-commerce : skeelbox, Altics, ou converteo. Ces trois entreprises sont très performantes, avec chacune leurs spécificités.

Et bien sûr, vous pouvez (devez !) mettre en place une solution de personnalisation, permettant d’adapter le site dynamiquement à chaque visiteur.

C’est justement ce que propose Target2Sell.

La solution est bien rodée, et tourne sur une trentaine de sites (Orange marine, Tous ergo, La Foir’Fouille, …).

 Une telle solution permet un gain commercial important et rapide.

Si les recommandations sont bien positionnées, on arrive facilement à plus de 10% de gain, mesuré par AB test !

Bon, j’ai du mal à me contenir quand je parle de ce sujet 😉

Plus 12% en 1 mois :)

La promesse de Target2Sell, c’est l’augmentation de la performance commerciale des sites e-commerce.

Notre solution intègre un moteur d’AB test, pour s’auto évaluer.

On vient de  regarder les chiffres, pour un client, qui a installé la solution il y a un mois.

Le site vend des vêtements, assez branchés.

Les résultats sont net  :

Le taux de transformation a augmenté de 6,5%

Le montant du panier a augmenté de 5,3%

Le total, ça fait une différence de 20 000 € sur un mois, et une augmentation globale de la performance de plus de 12% !

Et c’est bien pour ça qu’on parle d’augmentation de la performance commerciale : Target2Sell permet de jouer sur plusieurs leviers.

Gefradis by Altima : La fenêtre sur les pros :)

J’ai rencontré l’un des associés de Gefradis

Home Gefradis

Il s’agit d’un site B2C, mais pour les pros, sur un secteur très précis : les fenêtres, portes, volets roulants, …

Le site a été refait par l’agence de Lyon d’Altima.

Altima est une bonne agence, particulièrement pointue sur la réalisation et l’accompagnement de sites e-commerces.

La refonte a permis un gain très significatif en terme de transfo.

Le site permet, en particulier, d’acheter pas mal de produits sur mesures, et le configurateur est plutôt bien pensé :

Configurateur

C’est clair, dépouillé, ce qui n’est jamais très évident pour ce type de fonction.

Bien joué 🙂