Vous voulez qu’une fonction soit paramétrable, qu’on puisse la modifier, simplement.
Il y a plusieurs niveaux d’interfaces.
Le niveau le plus haut, celui que vous avez sans doute en tête, c’est une vrai interface : une page, avec des champs pour éditer les différents paramètres, et des boutons, pour valider, tester, annuler.
Le deuxième niveau, c’est une interface technique : cela ressemble, mais l’interface n’est pas clean : elle a été faite rapidement, peut être même automatiquement. Elle permet bien de paramétrer la fonction, mais la prise en main de l’interface est moins intuitive.
Le troisième niveau, c’est une interface via un fichier de configuration. Un fichier, XML par exemple, permet de régler des variables. C’est très efficace, mais il faut comprendre la syntaxe du fichier de paramétrage. Pour peu que sa structure soit peu intuitive, et c’est pas si simple que ça.
Le niveau suivant, c’est de modifier le code… Si la fonction est bien codée, c’est pas forcément si compliqué, mais il faut savoir coder.
On a donc quatre niveau d’interface.
C’est important de bien comprendre tout ça, et, a chaque fois qu’on veut que quelque chose soit paramétrable, de se demander quel est le niveau qui doit être défini. Tout n’a pas besoin d’être au niveau le plus haut. Exemple : définir le nombre de produits affichés sur une page liste. Cette contrainte évoluera peu, peut être même jamais. Mettre une telle info dans un fichier de paramètre est sans doute une bonne idée.
Je crois qu’il manque la fin de l’article !
Oui, merci, il y avait un paragraphe qui trainait à la fin 😉