En discutant à droite à gauche, avec différentes personnes, différents acteurs, je me rends compte à quel point mon positionnement est original…
Vous avez un projet e-commerce ?
Vous faites appel à quelqu’un qui va vous aider à choisir des prestataires ?
Savez vous que la pratique la plus courante est que le consultant soit commissionné par les prestataires recommandés ?
Savez vous qu’on ne vous ne le dira pas (authentique !) ?
Et que pensez vous qu’on vous recommande ?
La tentation est forte de recommander la solution apportant la plus grande commission bien sûr !
Donc, en ce qui me concerne, j’ai une règle simple :
100% du chiffre d’affaires d’Araok vient de mes clients : ZERO COMMISSION !
Êtes-vous certain que c’est le cas avec les autres consultants ?
Pour ma part, j’ai l’impression que les consultants sont peu nombreux à jouer le jeu des commissions, ce qui n’est pas forcément le cas des agences…
Mais je ne vois pas les P&L de mes confrères, donc je suis comme toi contraint de spéculer.
Ton positionnement est louable et sain, mais, si tu me le permets, pas si original.
Nous le pratiquons massivement depuis 7 ans non pas en tant que consultant mais en tant que plateforme de commerce en ligne.
Et cela ne va pas sans difficulté car ce n’est pas dans les mœurs de ceux qui ont quelque chose à vendre à nos clients.
Chez Oxatis nous leur disons « Nous ne voulons pas de commission, nous voulons des avantages pour nos clients à la place » et la réponse est en général « Mais on ne peut pas faire cela sans que les clients finaux devinent ce que nous laissons à d’autres » …
J’avais fait un billet en décembre 2006 à ce sujet !
http://fr.marcschillaci.com/2006/12/web_20_business.html
En tous les cas, bravo pour ton éthique.
Marc
@Marc> Tant mieux si c’est pas si original que ça… Mais si on me propose tant de commissions, c’est bien que ça doit être pas mal accepté…
@François> Tout à fait d’accord sur le fait que ça doit être pas mal accepté, mais toujours sidéré par l’existence de ces pratiques. Cela me semble être une façon totalement désuète d’envisager la relation client.
Marc