Votre business est il pérenne ?

Vous avez du flair.

Les jeunes achètent des quantités de jeux vidéo.

Ils les payent assez cher et s’en lassent vite.

Vous observez le comportement de cette « tribue » : les échanges vont bon train.

C’est comme ça que vous avez eu l’idée de monter une chaîne de magasin de vente et d’échanges de jeux vidéo.

Votre business s’est bien développé. Vous avez pas mal de magasins, un peu partout.

Mais le monde change, tellement vite !

Quelques années seulement après avoir monté cette belle boite, tout votre édifice se fissure : les jeux vidéos se dématérialisent !

Plus de support, les consoles sont connectées directement sur Internet.

votre business s’écroule !

Cette petite histoire pour planter le décors : le monde évolue.

Une offre est hyper innovante un jour, elle se développe, puis… meure.

Pour vivre, l’entreprise doit se réinventer, se repositionner.

Finalement, bien des entreprises restent sur le carreaux au moment ou une rupture fondamentale leur tombe dessus.

Pourquoi ?

Hey, parce que c’est pas simple ni facile de se réinventer !

Et puis, dans ce cas là, de jeunes entreprises se construisent directement sur le nouveau modèle. Vous vous croyez fort, vous vous dites que vous avez des avantages clés : une équipe, du cash, …

Oui, c’est vrai. Mais d’un autre côté, vous avez des contraintes, vous ne pouvez pas basculer si simplement que ça d’un monde vers l’autre…

C’est la vie, la roue qui tourne.

Certains s’adaptent, passent de belles ruptures (IBM est un exemple extraordinaire…), d’autres restent sur le carreau.

Pour beaucoup, le e-commerce est une rupture…

Pour bien franchir l’obstacle, il faut en premier bien identifier qu’il y a un obstacle (et donc ne pas dire : « le e-commerce, rien de nouveau »…), puis il faut s’organiser pour y aller, à fond, tout en maintenant les autres activités…

Besoin d’un coup de main ?

Un commentaire

  1. CQFD…pas étonnant que des « grosses enseignes » avec des mentalités « je sais faire du commerce » ne s’en sortent plus. Et on dira que c’est la faute à la crise…

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