Donc, vaut il mieux marcher ou courir sous la pluie ?
Voici mon analyse :
Je propose de simplifier la forme géométrique de l’homme, et de séparer la surface horizontale, la tête et les épaules, à un rectangle, et la surface du corps à un rectangle vertical.
Autre hypothèse, pour simplifier : la pluie tombe verticalement, sans vent, et de manière régulière.
Le rectangle vertical , le corps, en avançant, passe au travers un rideau de pluie. Disons qu’il y a 1000 goutes tous les mètres. Qu’on avance lentement ou rapidement, ce rectangle vertical entrera en contact avec la même quantité de goutes.
Pour le rectangle horizontal, c’est une autre affaire : plus on reste longtemps sous l’eau, et plus ce rectangle reçoit de l’eau.
La conclusion est donc la suivante :
Pour le corps : le thorax et les jambes, c’est pareil.
Pour la tête et les épaules, il vaut mieux courir.
Bon, allez, au boulot 😉
Même si le billet commence à dater un peu, à consulter, le point de vue de scientifique à ce sujet :
http://www.slate.fr/lien/59811/pluie-courir-marcher-mouille