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Demain sera virtuel, vous en doutez encore ?

Voici une vidéo, que j’ai trouvé très impressionnante :

Ces masques et applications de réalité virtuelle vont être partout : dans l’art, les jeux, sans doute de nouvelles formes de fictions (cinéma immersif), et au travail avec la très belle démo de Microsoft :

Alors, prêt ?

Qui fera le premier le site de v-commerce ?

La « webification » des magasins

Première étape : Internet arrive. en quelques années, ce média se révèle être un super outil pour vendre et pour gérer une relation « 1-2-1 » avec les clients.

Les entreprises s’emparent progressivement de ce média et se mettent au e-commerce.

Mais comment vendre en ligne ?

La première idée est d’appliquer ce qu’on sait de la vente « classique » à ce nouveau canal. En filant la métaphore avec le monde physique, le marketing devient e-marketing : on parle de tête de gondole, d’animation des rayons, de parcours client, de mise en scène des produits…

Et puis le e-commerce se développe, et on « apprend en marchant » : le e-marketing se démarque du marketing. L’acquisition client est très spécifique par exemple. Dans le monde physique, la concurrence est géographique. Sur le web, elle est surtout sémantique : quels sont les acteurs qui se positionnent sur tels mots clés, liés à tels produits ?

Avec l’arrivée de pur players, le e-commerce devient un canal à part entière. Pour bien vendre en ligne, les entreprises ont maintenant appris à se battre avec les bonnes armes : analytics, canaux d’acquisitions spécifiques, outils de e-merchandising adaptés (search, filtres, recommandations de produits, …).

Tout ce chemin fait qu’aujourd’hui, pas mal d’entreprises ont développées une culture web.

Aujourd’hui, cette culture irradie l’ensemble de l’entreprise.

Auchan devient Auchan.fr.

La web-culture se développe partout, et entre dans les magasins.

Les clients se baladent dans les rayons avec leurs smartphones.

De plus en plus de magasins sont équipés de bornes wifi, les vendeurs de tablettes.

On voit se développer des caisses connectés, ou des bornes Internet.

Je sais pas vous, mais je trouve cette tendance intéressante… Ou cela va-t-il mener ? Quels sont les prochains usages connectés en magasin ?

On parle de beaucoup de choses pas très réalistes, faites pour faire le buzz.

Pendant ce temps là, de vrais changements s’opèrent, plutôt rapidement en fait.

L’intelligence artificielle : La fin de l’humanité ?

Le brillant et étonnant Stephen Hawking pense que l’intelligence artificielle pourrait dépasser l’homme.

Stephen Hawking ne détaille pas sa pensée sur ce sujet. Alors, qu’en penser ?

Comment l’intelligence artificielle pourrait elle dépasser l’humanité ?

Il est certain que l’armée travaille à des robots tueurs.

Les nouveaux robots peuvent se déplacer vite, comme Cheeta :

Les robots sont de plus en plus intelligents, et Asimo est l’un des robots qui semble le plus évolué, avec aujourd’hui la capacité à marcher, courir, sauter, sur des terrains accidentés :

Donc il est bien certain que l’intelligence, la puissance physique et l’autonomie des robots sont en croissance rapide.

Alors, l’ordinateur intelligent est il un danger pour l’humanité ?

On peut imaginer plusieurs types d’attaques :

  • Une attaque « structurelle » : les ordinateurs prennent le contrôle de nos infrastructures. Les banques, les réseaux électriques, … toutes nos infrastructures sont gérées par des ordinateurs, plus ou moins inter-connectés par Internet. Une « intelligence artificielle » pourrait développer des virus informatiques, s’introduire dans les différents systèmes, et en prendre le contrôle. Ce scénario a d’ailleurs été creusé par plusieurs films ou jeux vidéos.
  • Une attaque physique : les robots militaires s’émancipent, et se retournent contre leurs créateurs. Là aussi, c’est un thème développé par plusieurs films. L’humanité pourrait être en danger si l’attaque est massive (armée de robots qui s’organisent, se développent, et détruisent l’humanité) ou si elle utilise des moyens globaux (un programme décide de lancer des bombes atomiques).

Ce qu’il faut bien avoir en tête, c’est qu’actuellement, et depuis plus de 60 ans que l’homme travaille sur ce sujet, l’intelligence artificielle n’a pas beaucoup progressé :

La puissance de calcul des ordinateurs a fait des progrès énormes, ce qui fait qu’en appliquant des programmes « mécaniques », on arrive à battre l’homme sur plein de sujets. L’ordinateur est au niveau du champion du monde des échecs, symbole s’il en est de l’intelligence… Mais le programme qui réalise cet exploit n’a rien de comparable avec ce qu’on appelle l’intelligence.

C’est le paradoxe actuel, on utilise la puissance de calcul pour effectuer des tâches de plus en plus complexes, mais on n’a toujours par percé le secret du fonctionnement du cerveau, et des tâches très simples restent inaccessibles aux machines.

Ainsi, à l’heure actuelle, aucun ordinateur ne sait s’adapter, apprendre, comme l’homme sait le faire.

Au fait, c’est quoi l’intelligence artificielle ?

Question simple et réponse pas si simple ;). Alan Turing, l’un des pères de l’informatique, avait inventé un test pour valider un programme intelligent.

On dit que l’homme est intelligent car il sait apprendre et s’adapter à de nouvelles situations. Il sait « intégrer » des données issues de contextes très variés, permettant des raisonnements complexes basés sur des données très incomplètes. Il ne s’agit donc pas de raisonnements parfaitement logiques, mais plutôt d’intuitions, induites à partir d’exemples divers. L’intelligence, telle que définie de manière anthropomorphe, est donc très liée à la capacité à apprendre, et à raisonner à partir de ces apprentissages incomplets. Cela fait bien longtemps qu’on cherche en informatique a simuler de tels systèmes, mais encore une fois, on est aujourd’hui loin du compte. La capacité du cerveau pour analyser une situation, avec extrêmement peu d’informations, reste complètement inégalée.

J’imagine que l’hypothèse de Stephen Hawking, c’est que ces barrières pourraient être franchies dans les années à venir.

Donc, dans cette hypothèse là, la machine serait, par rapport à l’homme :

  • Plus forte et plus rapide physiquement
  • Plus rapide à résoudre un problème complexe
  • Capable d’apprendre et de s’adapter à de nouvelles situations.

Se pose alors la question de la motivation de la machine :

L’homme pour agir est motivé par plusieurs « moteurs » : les motivations élémentaires liées à la survie, de soi (se protéger des agressions externes, se protéger du froid, boire et manger), la survie de l’espèce (la protection de ses proches, la reproduction) et les motivations liées à notre ego (avoir plus de pouvoir, d’argent).

Quelles seraient les motivations profondes de la machine ?

Qu’est-ce qui rendrait une machine dangereuse ?

Bon, d’accord, un robot militaire est dangereux, surtout si on est en face de lui ;).

Donc une machine est déjà dangereuse pour une personne ou un groupe de personnes. Un robot, un programme, peut tuer un ou plusieurs hommes. Mais ce n’est pas le sujet de la réflexion. La réflexion est plus globale, puisqu’on parle ici de la fin de l’humanité.

Donc, pourquoi une machine pourrait développer une telle motivation ?

Se pose donc la question qu’avait traité Isaac Assimov : au delà des programmes d’utilisation de la machine, quelles sont les « lois fondamentales » structurant la machine intelligente ?

Isaac Assimov avait imaginé trois lois :

  1. Un robot ne peut porter atteinte à un être humain, ni, en restant passif, permettre qu’un être humain soit exposé au danger.
  2. Un robot doit obéir aux ordres que lui donne un être humain, sauf si de tels ordres entrent en conflit avec la Première loi.
  3. Un robot doit protéger son existence tant que cette protection n’entre pas en conflit avec la Première ou la Deuxième loi.

Mais ces lois ne tiennent pas la route, car les militaires, grands investisseurs dans ces domaines, ne mettront jamais en place de telles protections : un robot militaire doit évidement pouvoir tuer.

C’est marrant (si j’ose dire) car je pensais avant l’écriture de cette réflexion que Stephen Hawkins avait tort, mais au fil de l’écriture de cet article, je suis en train de changer d’avis. On peut très bien imaginer plusieurs scénarios catastrophes.

Je ne pense pas que la catastrophe puisse venir d’une machine avec un égo (« je veux dominer le monde »), mais plutôt de bugs dans le paramétrage de la machine (« pour protéger tel territoire, il faut supprimer telle population »). Si on délègue à une machine la capacité à prendre des décisions clés, alors le risque existe.

Les humains seront ils assez sages pour éviter cet écueil ? ça m’étonnerait 😉

Le futur de la technologie, Her

Le futur dans les films est souvent tellement décalé, tellement loin de notre présent : cela reste un exercice abstrait.

Avec Her, c’est différent.

Imaginez des Googles Glasses sans « glasses » : il ne reste qu’un écouteur, qu’on met dans son oreille.

Avec ce « device », on peut dialoguer, comme on le fait avec Siri ou les Glasses.

La petite innovation apporté par le film : le programme est bien plus intelligent que ce qu’on sait faire aujourd’hui : on peut donc avoir un dialogue soutenu.

Bien sûr, cela va dériver vers la séduction.

Intéressant de mon point de vue car ce n’est pas si loin que ça.

Dans plusieurs scènes, on voit une foule, ou tout le monde parle, mais pas avec les autres.

Dans le métro, ou peut être une personne sur deux a des écouteurs, le sentiment n’est pas très éloigné.

Bien sûr, la technologie n’en est pas là : on ne sait pas encore faire un programme aussi intelligent, loin s’en faut.

Pour autant, cette « mise en abime » questionne sur l’isolement, généré par la technologie. Et ça, c’est une question très actuelle.

Un robot intelligent ?

Je suis tombé sur cette vidéo, qui montre ce que sait faite l’un des robots les plus avancé du moment :

Ce robot est il intelligent ?

Il est capable de marcher, de courir, sur terrain plat ou légèrement accidenté.

Il sait identifier qu’une personne se rapproche, lui parler.

Il peut servir un verre, et probablement tout un tas d’autres choses.

Mais est-ce de l’intelligence ?

La réponse est  non.

Pourquoi ?

Parce que ce robot n’agit qu’en suivant des lignes de codes.

Si le robot se retrouve confronté une situation anormale, il ne saura pas s’adapter.

Exemple : quand il sert un verre à partir d’un termos, si les programmeurs n’ont pas géré le fait que le thermos peut contenir plus que ce que peut recevoir le verre, le robot fera tout déborder, et pire, il recommencera cette bêtise indéfiniment.

On ne sait pas aujourd’hui réellement faire mieux.

Ce robot est le fruit de dizaines d’années d’effort, cela montre un bel aboutissement, mais on est encore bien loin d’un robot intelligent !

Review du livre d’Emmanuel Gadenne, le Guide pratique du Quantified Self

Cet article est écrit par Julien Chaumond, fondateur de Productism et invité de François sur ce blog.

Le Quantified Self, vous savez, c’est le fait de récolter de manière systématique des données sur soi-même pour améliorer sa santé, sa productivité, bref sa vie 🙂

C’est une tendance qui se développe aux Etats-Unis depuis un ou deux ans, portée notamment par Kevin Kelly (le rédacteur en chef de Wired), et Tim Ferriss (l’auteur de The Four-Hour Workweek). Emmanuel Gadenne, l’un des précurseurs français du Quantified Self, vient d’écrire un livre sur le sujet (dispo sur Amazon) :

 

Le livre contient de très nombreux témoignages de personnes mesurant et analysant diverses données (alimentation, exercice physique, sommeil, travail, etc.) et qui nous font un retour d’expérience sur ce qui marche, mais aussi ce qui ne marche pas (car à l’extrême, tout quantifier n’a que peu d’intérêt).

 

Le livre est très orienté santé/qualité de vie (moins productivité ou business), car les applications Quantified Self qui rencontrent le plus de succès aujourd’hui sont dans cette catégorie. On apprend d’ailleurs dans le livre que la santé est le 3ème catégorie en nombre de téléchargements d’applications dans les App Store (que ce soit iOS ou Android — après les jeux et les réseaux sociaux sûrement ?).

On y trouve aussi plein d’infos sur les outils, et notamment sur les objets connectés. On connaissait déjà la balance connectée de Withings, ou le Fitbit (un capteur qui permet de « tracker » votre exercice physique au file de la journée), mais aujourd’hui des objets encore plus surprenants apparaissent, comme une raquette de tennis connectée, la Play’n’Connect 🙂 :

 

Il y a également beaucoup de startups Web sur ce secteur, notamment autour de l’aggrégation des données avec par exemple Sen.se (fondée par rafi Haladjian, le créateur du Nabaztag), Didthis, etc.

Bref, un livre à recommander !

La fin de Google et Facebook dans 5 ans ?

Un article fait du bruit en ce moment.

Il s’agit d’un article prédisant la mort prochaine de deux des plus grandes boites de l’internet : Google et Facebook.

L’analyse, pour simplifier, c’est qu’il y a des ruptures dans l’internet, et que les boites, en fonction de leurs cultures, ne peuvent pas forcément passer ces étapes.

Les grandes ruptures du web, d’après l’article, c’est :

  • Le Web 1.0, avec la naissance des grands acteurs historiques : Yahoo, Google, Amazon, …
  • Le Web 2.0, ou le web devient social. C’est évidement Facebook qui est le porte drapeau de cette génération là
  • La suite, ça serait l’internet sur les mobiles et les tablettes. Bref, ça ne sera plus du web, mais des applications.

Chaque entreprise à une culture, qui, comme l’ADN pour le vivant, structure a peu près tout (commercial, marketing, opérations, …), ce qui fait que les entreprises ont du mal à évoluer, et à franchir les ruptures.

C’est un thème qui m’est particulièrement cher. Quand j’accompagne des entreprises, pour ouvrir le canal e-commerce, c’est souvent le sujet : le e-commerce est, pour la plupart des entreprises, une sacré rupture.

Pour revenir à nos moutons, cet article est intéressant, en ce sens qu’il se pose la question, légitime, des grandes évolutions d’Internet, et de la capacité qu’auront les acteurs, à évoluer pour être adapté aux nouveaux paradigmes.

Je trouve déjà que les phases sont trop macro.

De mon point de vue, les générations d’Internet seraient plutôt :

  1. L’internet historique. Ce sont les premiers acteurs, qui ont posés les premières briques. Le web est alors statique, composé de pages et de liens.
  2. Le temps des portails et des moteurs de recherche de première génération. C’est la grande époque de Yahoo, Alta Vista, Aol. Le web devient dynamique, avec des photos.
  3. Le temps du web des moteurs de recherche de deuxième génération et des applications en ligne. C’est bien sûr Google le porte étendard de cette génération. Le web devient bien plus dynamique, et  multimédia.
  4. Viennent ensuite plusieurs ruptures : le web temps réel, et le web social. Facebook symbolise bien sûr le web social, et Twitter le web temps réel.

Les ruptures à venir en cours sont :

  • Le développement du HTML 5, qui fait du web un environnement applicatif très riche, bien éloigné du web composé de pages qui s’enchaînent
  • Les usages d’Internet, sur les terminaux qui ne sont plus des PC : les tablettes et les smartphones, bien sûr, mais aussi la télé (annonce demain de l’Apple TV ?)

Par rapport à ces ruptures, certaines entreprises tracent leur route, et progressent, comme si la route était « droite ». Je pense bien sûr à Amazon, qui, jusqu’à présent, s’en sort très bien, et n’a pas un seul concurrent crédible (même si d’autres acteurs comme Rakuten doivent être observés avec attention).

D’autres acteurs sont plus secoués, comme Yahoo ou eBay, qui ont du mal à se réinventer… A franchir les ruptures.

Alors effectivement, Google est en risque, sur plusieurs axes :

  • Les internautes vont sur Google parce que les réponses proposées sont de bonne qualité : on trouve en général assez vite ce qu’on cherche via Google. Cette qualité était basé principalement sur l’analyse des liens pointant vers une page donnée, et sur l’analyse du contenu de la page. Ces notions explosent, avec l’arrivée du HTML 5 et du web temps réel.
  • Le modèle de publicité de Google fait que, de plus en plus, le contenu des pages de Google est un résultat basé sur les publicités, plus que sur autre chose.

De plus, Google n’a pas, pour l’instant, réussi à se positionner sur les réseaux sociaux. Google+ n’a pas encore fait ses preuves. Et pourtant, il est évident qu’il y a des liens forts entre réseaux sociaux et moteurs de recherche.

Si les internautes passent beaucoup de temps sur les réseaux sociaux, ils sont moins sur d’autres services, ils vont donc moins cliqués sur les publicités de Google.

De plus,  les internautes peuvent prendre l’habitude de moins chercher, mais plutôt d’utiliser des liens recommandés par les réseaux sociaux.

Google est par contre très bien positionné sur plusieurs axes clés : les services géo-localisés, avec leurs données associées (Google Maps), et et le mobile, avec Androïd.

Autre atout pour Google : Google a construit une barrière à l’entrée très impressionnante : il s’agit de son infrastructure, unique, composé de près d’un million de serveurs (!!!).

Mais le développement de Facebook, très rapide, nous a montré à tous qu’en s’y prenant bien, on pouvait déployer un service, au niveau mondial, en quelques années.

Donc, oui, Google est challengé aujourd’hui.

Pour Facebook, est-ce que le développement des usages, vers les terminaux autres que PC, constitue un vrai danger, une barrière difficile à franchir ?
Je ne le pense pas. Ce que nous a appris l’échec de Google+, c’est que les utilisateurs ont un lien finalement très fort à Facebook, et ce, pour une raison simple : on y retrouve la plupart de ces amis.
Cela reste vrai sur les mobiles, ou sur une tablette.
Donc, je pense qu’effectivement Facebook pourra être challengé, par un acteur qui proposera quelque chose de bien mieux, encore plus viral, mais je ne suis pas convaincu que le mobile soit infranchissable pour Facebook.
Donc, pour conclure, je pense que l’article soulève un point intéressant : les entreprises sont toutes mortelles, et peuvent décliner, après avoir brillé haut.
Mais pour autant, au delà de cette généralité, je ne suis pas convaincu plus que ça par l’analyse. Je pense qu’il faudrait affiner l’analyse, en prenant plusieurs axes : usages, technologies, …. Cela permettrait, je pense, de mieux comprendre pourquoi certaines entreprises franchissent plus facilement que d’autres les ruptures.
Et vous, qu’en pensez vous ?

La limite de la mémoire numérique ?

On sait bien que les ressources de la terre sont limitées.

J’ai regardé cette infographie:

En regardant ces chiffres sur la croissance du volume d’information digital en 2015, je me suis posé la question : quand atteindrons nous la limite physique, limite imposée par les ressources sous jacentes au stockage de cette information ?

bon, on y est sans doute pas, parce que les technologies de stockages ont encore pas mal de marges d’évolutions, mais il n’empêche, forcément, on touchera le « carter » forcément un jour.

Alors, quand ?

Ce jour là, comme pour le pétrole aujourd’hui, le prix du stockage s’envolera, c’est sûr.

 

Vision du futur par Microsoft

On voit régulièrement ce type de vidéo, présentant un futur bien plus connecté :

Pour le coup, je trouve que Microsoft n’a pas été très créatif, non ?

On voit bien des écrans partout, tactiles et multi touch.

On a quelques écrans 3D, des lunettes permettant de projeter de la réalité augmentée.

Petite innovation complémentaire proposée : on a des écrans ou la zone de projection « sort du cadre ». Il s’agit de projetction holographique ?

Donc, au delà de cette profusion d’écrans, je n’ai pas trouvé ça tellement en rupture….

A sa grande époque, Nokia avait proposé cette vidéo, beaucoup plus futuriste pour le coup, avec un « téléphone polymorphe » :

Si j’étais méchant, je dirais que pendant qu’ils travaillaient là dessus, Apple développait son iPhone…

Alors, quelles seront les grandes ruptures à venir, qui vont changer notre vie et notre rapport avec ces équipements ?

Apple est-il dans la bonne voie, avec Siri ? L’interface vocale sera-t-elle la prochaine évolution majeure ?

Peut on aimer un bonnet ?

Je suis tombé sur cette vidéo un peu surréaliste, on on présente un robot dont le job est de générer des sentiments :

Alors, vous pensez que l’échange de sentiment peut être violent avec un bonnet ?

(via Vincent)