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Rêves de bulles

Je vous propose aujourd’hui une interview, d’un community manager, pour la boutique Rêves de bulles. Il s’agit d’un certain Martin.

Bonjour Martin, peux tu nous expliquer quelle est cette boutique ?

Rêves de bulles vend des bd de collection.

Il y a souvent des sérigraphies, des dessins originaux…

Ce sont des éditions limitées, signées, numérotées.

Bref, il s’agit de produits d’exceptions pour les fans absolus de BD.

Ca doit coûter cher de tels produits ?

Pas tant que ça, on trouve des sérigraphies à partir de 15 € 🙂

Mais certains produits vont jusqu’à 300 €. Exemple : Largo Winch, en édition très limitée (150 exemplaire)

Quand on aime, on ne compte pas ;).

Peux tu nous en dire un peu plus sur cette boutique ?

Le site a été monté en fait par le fondateur d’Orphelins du monde, association qui, comme son nom l’indique, crée et aménage des orphelinats dans le monde.

Exemple : l’an dernier, l’association a bossé pour que les orphelins au Togo aient accès à l’eau tous les jours.

Cette année, le projet, c’est l’électricité.

Sympa :). Et toi, quel est ton rôle ?

Ma mission est d’augmenter le chiffre d’affaires de la boutique, pour mettre l’association Orphelins à l’équilibre.

OK. Et tu fais quoi pour atteindre cet objectif ?

Le contexte, c’est : un site d’ « ultra niche » avec une cible de vrais passionnés, et peu de moyens pour développer le trafic. Je suis donc parti sur l’idée de créer une communauté, et de l’animer très régulièrement pour la faire vivre et grossir.

Comment tu fais ça ?

J’ai commencé par aller là ou les passionnés vont, c’est à dire sur les forums. ça m’a permis de créer des liens entrants, via ma signature, et de ramener du monde sur la page Facebook.

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Mon objectif est de créer du contenu exclusif, prioritairement sur Facebook et sur les forums.

Et ça marche ?

Ben ça commence à prendre 🙂

On est parti avec 5 personnes touchées par jour via Facebook, et après le premier post, on est monté à 100 vues, puis 1000 sur la semaine !

Super !  Merci Martin, bonne continuation.

 

Facebook connect en action

Pas mal de sites e-commerce (ou autre) en parlent.

Facebook permet d’ajouter le login sur un site ecommerce grâce à son identifiant Facebook.

Capture d’écran 2013-04-09 à 22.51.57

Exemple sur CDiscount :

Première étape, au moment de m’identifier, CDiscount me propose de m’identifier grâce à mon compte Facebook :

CDiscount 1

Je clique donc sur ce bouton :

Si je ne suis pas connecté sur Facebook, on va me demander de le faire :

Capture d’écran 2013-04-09 à 23.03.31

Comme je suis déjà connecté sur mon compte Facebook, j’arrive sur la fenêtre suivante :

CDiscount 2

Il s’agit en fait d’une application, ici signée par CDiscount.

Cette application permettra de m’identifier sur CDiscount grâce à mon compte Facebook.

Mais je dois d’abord accepté, avec le bouton Log…

En l’occurence, si j’accepte, j’accepte que CDiscount accède à pas mal de choses : mes infos perso bien sûr, mais aussi mes amis, les profils de mes amis… Y compris faire des recommandations en mon nom auprès de mes amis !

Mais l’ergonomie est faite pour que je ne lise pas tout ça. Je clique donc sur Log…

CDiscount 3

Bon, encore une étape : on me demande encore une permission… Après avoir validé, j’arrive sur la fenêtre suivante :

CDiscount 4

Arg, on me demande maintenant de relier mon compte CDiscount existant avec mon login Facebook. Bon, faisons simple, disons que je n’ai pas de compte CDiscount ou que je ne souhaite pas faire ce regroupement :

Je passe ensuite par une fenêtre ou on me demande d’enregistrer un mot de passe pour mon compte CDiscount.

Puis, enfin, j’arrive sur la page de mon compte… Sauf que le formulaire est vide !

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Facebook a en l’occurence permit de renseigner mon email…

Loin de moi l’idée de critiquer : Facebook connect est sans doute en élément clé pour l’avenir.

Mais sur ce « use case », on voit bien que c’est pas encore complètement sec 😉

J’aimerais bien tester la même fonction mais depuis une application mobile.

Seul hic : je ne connais pas d’application iPhone avec la fonction Facebook Connect mise en oeuvre… Et vous ?

(merci Julien)

Et si facebook était devenu une machine infernale ?

Facebook, ça a démarré assez simplement : le système permettait de gérer des fiches de profil pour les internaute, avec quelques fonctions de base :

  • Lien vers mes amis
  • Ecrire sur mon mur ou sur le mur d’un de mes amis
  • Enrichir ma fiche (photo)

Et puis, … c’est devenu le grand bazars.

Aujourd’hui, Facebook est tellement complexe au fond que personne ne maîtrise vraiment comment ça marche.

J’en discute régulièrement avec des gens qui connaissent vraiment bien, et la réponse c’est que pleins de choses sont gérées par des algos de Facebook, et qu’en tant qu’utilisateur, on peut juste essayer de comprendre, de deviner, en aveugle.

De plus, les types d’interactions avec le système sont devenus tellement riches qu’il est très, mais vraiment très compliqué de bien maîtriser ce qui se passe et de bien paramétrer tout ça.

Bref, pour faire simple, l’usage de Facebook se développe, mais de plus en plus les internautes ne maîtrisent pas « la bête »

De l’autre côté, je ne suis pas convaincu que ça soit un vrai sujet aujourd’hui pour Facebook. Le vrai sujet, c’est assez simple : c’est la monétisation. Comment Facebook va-t-il gagner de l’argent à partir de son système, et en particulier sur les usages mobiles ?

Mon sentiment est que la machine s’est emballée…

Nouveauté facebook : le bouton « Promote »

Cet article est écrit par Antoine d’Arifat, DG de Brand Online Commerce, invité de François sur ce blog.

La news est passée un peu inaperçue en France. Normal, le boton « Promote » a été lancé d’abord aux US. C’est l’équipe de notre filiale américaine qui nous en a parlé ce matin comme d’une évidence.

Le bouton « Promote » permet de booster la visibilité des posts de votre page. Ce bouton apparaît directement sur la gauche du bouton « Publier ». Vous pouvez choisir de promouvoir votre publication dès sa mise en ligne ou à postériori. Vous définissez un budget global. Facebook vous indiquera une estimation du nombre de personnes qui seront « atteintes ».

Voici comment cela se présente lors d’une nouvelle publication

On retrouve la même possibilité sur des publications déjà en ligne ici

Bien entendu on ne peut pas promouvoir des news qui ne seraient plus très « fraiches ». Cela serait nuisible à la pertinence des fils d’actualités de vos fans. La possibilité de promouvoir son post n’est disponible que pendant 3 jours.

Cet nouvelle possibilité permet de donner un coup de « boost » à une publication en particulier qui va apparaître en bonne place dans le fil d’actualité des fans de votre page. Ce qui est très différent de la possibilité de promouvoir un post par de la publicité. Cette deuxième option existe déjà mais transfère le lien vers la news du coté droit de la page au milieu des publicités. Cette zone est par nature beaucoup moins regardée par la communauté des utilisateurs facebook.

Comme souvent pour facebook, cette nouvelle possibilité de promotion de contenu de pages va vers une surexposition des fans des pages à leurs publications. Cela va dans le sens des marketeurs. Mais cela va aussi avoir un impact négatif sur l’acquisition et la rétention de fans. Ils vont être en moyenne plus durs à convaincre car sûrs d’être surexposés. Ils coûteront plus cher à acquérir. Peu à peu les fils d’actualité des membres ressembleront de plus en plus à leurs boîtes mails, envahies par des mails promotionnels dont les cadences s’emballent d’année en année.

Bref, vous l’aurez compris, cette nouvelle possibilité de mettre en avant du contenu de vos pages arrive. Ne ratez pas l’occasion d’être parmi les premiers à l’utiliser. Mais soyez vigilants de ne pas en abuser au risque de perdre une partie de votre communauté de fans.

En attendant que cette option soit disponible en France voici quelques infos pour vous y préparer.

https://www.facebook.com/help/promote

 

fab, une référence pour le f-commerce ?

Fab est un site e-commerce :

Quelles sont les spécificités de ce site ?

Déjà, il faut donner son mail pour entrer :

Hum, ce n’est pas très habituel, ni très conseillé. C’est une bonne idée pour des sites très particuliers, qui ne comptent pas sur le référencement naturel.

Fab est un site qui vend des produits design.

Le site fonctionne un peu sur le principe de vente privée :

Les produits sont en vente sur une plage de temps donnée :

Une fois sur une fiche produit, c’est presque comme sur n’importe quel site e-commerce :

On a un gros discount sur le prix, et un bouton d’ajout au panier bien visible.

Ce qu’on remarque, c’est au dessus, le « Add to Favorites » . Sur la plupart des sites, ce type de fonction est discret. Ici, c’est le deuxième élément mis en avant, juste après le bouton d’ajout au panier (quand même 😉 ).

Remarquez en haut, toutes les options de partage : Twitter, Facebook, le bouton like de Facebook, et enfin, le bouton de Pinterest !

On sent bien que pour Fab, le partage, c’est pas de la rigolade !

Si je clique sur le coeur, ce message s’affiche :

Deux choses intéressantes :

  • On est sur une fonction bien plus évoluée que le « like » de base de Facebook
  • Regardez le message en bas de la fenêtre : si cette invitation me dérange, je peux la désactiver.

Poursuivons. Je clique sur le lien proposé, pour montrer ce produit à mes amis sur Facebook  :

Cela ouvre une fenêtre, qui me demande si je veux ajouter l’application Fab à Facebook :

Bon, cette étape est un peu anxiogène, on me dit que cette application va publier en mon nom des informations sur les produits. …

Je ne connais pas le taux de transformation à cette étape un peu sensible… ça serait intéressant d’avoir plus d’infos là dessus.

Ce qui est sûr, c’est que c’est bien mieux, de mon point de vue, d’avoir une application de la marque du magasin.

Bon, allé, tant pis pour mes amis Facebook, je dis ok :

Le résultat : je reçois un mail :

Le bouton, on ne peut plus incitatif, envoie sur la page Live Feed du site :

Au survol d’une vignette, l’ensemble des boutons de partage sont affichés

Je peux certe acheter ce produit, mais le partager, en parler autour de moi, à mes amis, c’est presque plus important !

Une autre chose m’a marqué : le site bouge en permanence. En haut de la page, un bouton affiche le nombre de nouveaux éléments :

Un clic sur ce bouton et la page se met à jour, en ajax.

Bon, vous ne pouvez pas ne pas avoir vu le bouton d’à côté : Invite. Oui, partager, inviter…. on est clairement dans le social à fond !

Un clic sur Invite m’amène sur une page qui affiche la liste de mes amis, et me propose de choisir les amis avec qui je veux faire du shopping ;).

La fonction d’ajout un commentaire est branchée sur Facebook également :

Résultat : ce commentaire apparait sur le site Fab.com, mais également sur ma page Facebook, et est donc vu par mes amis :

Au final, c’est la première boutique que je vois ou les fonctions sociales sont autant mises en avant.

Ce site a eu l’intelligence de complètement concevoir son fontionnement par rapport à ce que proposent les réseaux sociaux, ce qui est bien plus efficace que d’essayer de « vendre sur Facebook ».

Pour finir, je vous propose une interview du fondateur de ce site, qui parle du lien entre son site et Facebook :

La création de valeur autour de Facebook

Facebook vient de m’envoyer une infographie, pour illustrer la création de valeur, estimée, en europe, autour de cette application.

Je la publie ici, vous la trouverez sans doute un peu partout. Il serait intéressant de connaitre la méthodologie employée pour arriver à ces chiffres.

Ceci dit, une chose est sûre : Facebook est une énorme machine, c’est devenu un « web dans le web », des tas d’utilisateurs y passent des heures.

Le frein au changement est assez fort, puisqu’on a tous ses amis sur Facebook, et pas sur un nouveau système (voir la peine qu’à Google+ à décoller).

Donc, Facebook doit évidemment être travaillé avec une attention toute particulière.

Et puis, ce qui est également certain, c’est que ce business en est à ses tout débuts. ça ne peut que croitre très fort dans les prochaines années !

Voici le document donc :

Facebook Open Graph: des applis, pas des boutons !

Cet article est écrit par Julien Chaumond, co-fondateur et CEO de Productism, un réseau social centré sur les produits, et auteur du livre Social commerce. Vous pouvez aussi suivre Julien sur Twitter.

Nous parlions de la Timeline il y a quelques semaines, et ça y est, Facebook vient de lancer officiellement l’Open Graph 2.0, sa composante la plus emblématique et la plus innovante.

Sauf que… les retours qui sont faits sur cette annonce par pas mal de blogs (y compris Le Figaro) sont un peu à côté de la plaque (ou en tout cas ne sont pas assez clairs) : Facebook n’a PAS lancé des nouveaux boutons Like tels que « Read », « Watch », ou dans le cas du e-commerce, « Want » ou « Buy ». Ce sont les développeurs d’application qui peuvent créer, dans leurs applis, ces actions et les associer à des boutons — ou plutôt d’ailleurs les publier automatiquement.

La différence est vraiment majeure : dans le cas du bouton Like, l’internaute doit explicitement cliquer sur un bouton. En contrepartie, si je mets un bouton Like sur mon site, mon contenu va pouvoir être partagé sans avoir à installer une application Facebook (car le bouton Like, c’est directement un bout de Facebook sur mon site). En revanche, dans le cas des applications utilisant l’Open Graph 2.0, l’utilisateur doit installer l’appli (et donc passer par l’écran d’autorisation, qui vient d’ailleurs d’être mise à jour également). Mais une fois qu’il a l’installée, celle-ci peut publier automatiquement des actions sur son profil (notamment dans le Ticker).

Il n’y aura donc pas un bouton « Want » ou un bouton « Buy », mais autant de boutons (ou de publications automatiques) que d’applis.

Facebook a mis en avant hier un premier batch d’une centaine d’applications, que vous pouvez retrouver ici ou sur le visuel ci-dessous. Pinterest, RunKeeper, Dailymotion ou Cinemur rejoignent ainsi les « précurseurs » notamment Spotify et le Washington Post (qui ont gagné tous deux plusieurs millions d’utilisateurs en quelques semaines grâce à Facebook !).

Madame Choup vous propose des réductions contre un peu de communication sur Facebook

Si tout le monde est à peu près ok pour bien voir qu’il y a des choses à faire, entre Facebook et les sites e-commerce, la « martingale » magique n’a pas encore été trouvée.

Benjamin m’avait parlé de Madame Choup, site de vente de vêtements de cuisine, qui propose un module Facebook original.

Visite guidée :

Regardez bien, au niveau des produits, le site propose deux prix :

Acheter « malin », cela veut dire que je peux économiser 6 €, soit près de 10%.

Comment ? Simplement en acceptant de communiquer, sur Facebook, auprès de 10 « amis ».

Allons y : j’achète malin ;).

Mon panier affiche bien le produit, mais au prix de base. Pour l’instant, je ne suis pas très malin…

Ensuite, je vous passe les étapes, classiques, de création de compte.

Sur validation du panier, une popup s’ouvre, qui me demande l’autorisation d’accéder à mes informations Facebook :

Bon, je valide. Madame Choup, ou plutôt son application Facebook a maintenant accès à mes contacts… L’application me demande de choisir, parmi mes contacts, a qui je veux envoyer un message sur ce site :

Après avoir choisi 10 « cobayes » (désolé les amis 😉 ), je peux personnaliser le message qui sera envoyé :

Bon, ensuite, je peux poursuivre mes achats.

J’imagine que normalement, j’aurais du avoir une réduction, mais pour cet essai, ça n’a pas marché. J’ai spammé mes amis pour rien, désolé ;).

Alors, bonne idée ou pas ?

Etes vous prêt à spammer vos amis, pour avoir une réduction ?

Les internautes sont ils prêt à passer par des chemins pas si court que ça ?

Pleins de bonnes questions. A suivre !

Benjamin, de Presque Parfait, nous parle de Facebook

Je lis un peu partout que le f-commerce c’est nul, que ça marche pas….

J’ai proposé à Benjamin un échange sur ce sujet.

Voici les notes que j’ai prises suite à cet échange :

Déjà, il faut dire que Presque parfait est une marque. Les produits que propose la boutique, on ne les trouvent que chez moi.

La situation est donc différente pour un revendeur, pour qui les produits ne sont pas exclusifs, et qui doit pour exister se battre sur les prix, les services.

Presque parfait existe maintenant depuis un an.

J’ai tout misé sur le bouche à oreille.

Le bouton « Like » sur les pages produits est plutôt bien utilisé.
Exemple : sur un produit comme ce body, on est à plus de 450 like.

Chaque fois qu’une personne clique sur ce lien, l’info remonte dans son flux Facebook, et ces amis reçoivent cette info.

15% du trafic arrivent sur la boutique directement par ce moyen.

Pour les ventes, j’ai deux scénarios :

1) L’achat impulsif :

  • Découverte de la boutique sur Facebook,
  • Arrivée sur le site
  • Achat

2) L’achat « multi couche » :

  • Découverte de la boutique via Facebook,
  • Visite « de courtoisie », pour voir
  • Achat plus tard, en retrouvant la boutique via Google

Pour arriver à ce résultat, j’ai mis en avant les éléments de Facebook sur le site :

Sur la page produit, il y a deux boutons biens visibles : le bouton d’ajout au panier et le bouton like.

Il y a aussi l’encart Facebook associé à la boutique, en bas des pages.

Le bouton Like de cet espace là est bien plus fort, puisque là, le client dit : j’aime la marque.

Après, la question est : comment communiquer sur Facebook.

Il faut bien voir que les gens ne sont pas sur Facebook pour travailler. On est dans le fun, le loisir.

Il faut donc être très attentif à communiquer de manière adaptée.

En particulier, il faut se garder d’une communication trop « push » commercialement.

Je communique plutôt sur l’actualité des produits, ou sur des choses « fun », en rapport avec la marque :

Attention aussi à ne pas trop publier ! Il faut bien voir que par rapport à un blog, Facebook, c’est du push : les personnent qui aiment la marque reçoivent, sur leur mur, les publications. Si ils ont le sentiment d’être spammés, ils vont se désabonnés.

Je conseille 3 communication par semaine, pas plus. Par contre, il est très important de répondre, de réagir en temps réel.

Bien sûr, de temps en temps, je peux également envoyer une information commerciale :

Au début, je communiquais de la même manière entre le blog et Facebook. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, parce qu’il s’agit en fait de deux cibles différentes.

Sur le blog, il s’agit principalement de personnes qui suivent l’activité e-commerce de la marque. Alors que sur FaceBook, il s’agit de personnes qui aiment la marque.

Tout cela fonctionne, mais je suis dépendant de Facebook.

Facebook gère un « espèce de quality score » à la Google.

Quand on publie sur la page, l’info n’est pas systématiquement relayée sur les murs des fans. Plus un message est commenté, plus le quality score monte, et plus les billets seront diffusés. Cela marche aussi dans l’autre sens : si un message n’a pas de commentaire, le quality score baisse, et les prochains messages seront moins diffusés…

Le fonctionnement de Facebook n’est pas du tout transparent, c’est une sorte de « boite noir ».
Des fois, j’ai un buzz qui monte, mais je ne sais pas forcément d’ou cela vient. Facebook ne propose pas de moteur de recherche !

Au final :

Facebook est très bien pour se faire connaitre.
Je conseille de rester sur quelque chose de simple : le bouton « Like », j’aime, est très bien, très simple.

Spread-Button

 

Spread-Button se propose de faire le lien entre un site e-commerce et les réseaux sociaux :

Tout le monde est d’accord pour dire qu’il y a là un positionnement stratégique, une opportunité, un besoin…

Maintenant, la question est : comment faire ce lien ? Que proposer, tant pour le marchand que pour le client ?

L’approche de Spread Button est intéressante :

Il s’agit de connecter les deux mondes via une base client.

Une fois cette connection réalisée, c’est gagné : la base a accès aux données de chaque univers, et peut les exploiter.

Les fonctions proposées sont :

  • Segmentation : Segmenter la base, à partir de données du e-commerce croisées avec des données sociales
  • Acquisition : Lancer des opérations virales, pour capter de nouveaux clients et de nouvelles commandes
  • Tracking : Suivre et mesurer les opérations réalisées grâce aux opérations d’acquisitions
Petit exemple illustré :
Un site intègre un bandeau « attractif » (gagnez un bon de réduction de 10%)
Un clic sur la pub, et l’internaute rentre dans le « tunnel » permettant de se connecter sur l’un des réseaux sociaux (prenons Facebook) :
L’internaute clique donc sur le logo Facebook :
Après avoir renseigné ses identifiants, il doit valider l’utilisation de l’application SpreadButton :
Retour sur la boutique pour l’étape suivante :
Encore un clic, pour arriver sur le code tant recherché 😉 :
Un clic sur partager, permet d’arriver sur la page suivante :
A cette étape, Facebook redemande une autorisation :
Bon, si on valide, on arrive au bout :
Petite copie d’écran du back office, pour montrer à quoi ressemble un « client connecté » :
Je trouve l’idée d’Olivier très intéressante, mais je pense qu’il est indispensable de raccourcir ce chemin !