Archives mensuelles : juin 2011

e-Merchant de Pixmania signe avec Carrefour

e-Merchant est l’offre de e-commerce délégué de Pixmania.

Cela veut dire que les clients de e-Merchant peuvent bénéficier des solutions Pixmania : plateforme logicielle, relation client, logistique…

Carrefour vient de signer un deal avec e-Merchant !

Le montage est la suivante :

e-Merchant va proposer sa plateforme, permettant à Carrefour de vendre les produits, hors alimentaire, sur plusieurs pays européens.

Les produits à vendre seront les produits « sourcés » par Carrefour, ainsi que des produits issus de la market place de Pixmania.

Je n’ai pas beaucoup plus de détails à ce stade, et cette annonce me fait me poser des questions :

  • Les clients de la market place de Pixmania seront ils « obligés » de publier leurs offres sur les deux plateformes (pixmania et carrefour donc) ou est-ce qu’il pourront choisir ?
  • Comment va s’articuler l’offre de Carrefour sur l’alimentaire, et l’offre de Carrefour-e-Merchant ? Comment faire pour offrir une expérience cohérente ?
  • A mois que cela soit présenté sur deux sites distincts ?

Bref, à suivre !

En direct live de la soirée Prestashop

J’ai la chance d’être invité à la soirée « privée » Prestashop.

Voici donc mes notes de cette présentation.

Prestashop :

  • 62 personnes, dont 32 développeurs, probablement 120 d’ici 1 an
  • Chiffre d’affaires 2011 prévisionnel : 4,1 millions
  • 76 000 sites en ligne, 22% en France

Ouverture de Prestashop US :

Bruno, le fondateur de Prestashop est parti développer la boite aux US.

  • Tête chercheuse, depuis les US
  • Viser des clients directement depuis les US, pour des sites internationaux (multi langue, multi devise, multi boutiques)

Objectif : la filiale US doit rattraper la France rapidement !

Le sentiment, c’est que les américains comprennent très peu la technique (moins qu’en France), mais on un très bon « sens terrain », et arrivent à mettre des sites en ligne qui marchent assez vite.

Le mobile

enjeu stratégique pour Prestashop.

Démo : on installe un module, sur une boutique standard.

Nouvel onglet dans le back : permet de configurer l’apparence du site mobile.

La boutique est en ligne en 30 minutes.

Démo avec la boutique Menlook

C’est une application native iPhone, pas une Webapp.

ça permet de bénéficier des fonctions du mobile : géoloc, faire vibrer le mobile, …

4 projets pilotes jouent en mode beta, avant un lancement officiel.

A venir très rapidement : paiement et push. Version industrielle en Oct / Nov, Androïd et iPhone.

Multi Boutique

Plusieurs boutiques pour un seul back office

Partage des comptes clients

Partage des stocks entre les boutiques, ou pas (au choix)

Multi thème

Implémenté dans le coeur, pas via un module.

Tous les paramètres sont configurables par boutique : langue, devise, ….

Back office : on peut passer d’une boutique à l’autre via une liste déroulante.

Sortie d’une alpha dans quelques jours. Lancement en septembre.

La structure de données ne changera pas : possible de commencer les développements dès maintenant.

Autres actus

Mise à disposition d’une plate forme de tests unitaires.

Tests unitaires : basé sur selenium et PHPUnit, Jenkins (plateforme d’intégration continue)

Objectif : avoir 90% de prestashop passé à la moulinette des tests unitaires, d’ici cet été.

Store Manager : client lourd, sur Windows et Mac (bientôt)

Partenariat signé avec cette solution.

Développé en Ukraine.

Avantages :

  • Gain de productivité
  • Avantages d’un client lourd : pas de temps de chargement, …
  • Possible de faire des actions en masse (appliquer 20% de remise sur toute une catégorie de produits)
  • Peut fonctionner en mode off line
  • Intègre déjà la fonction multi boutique, de déclinaison produits
  • Gestion des photos par drag & drop, en masse

Ca coute autour de 150 €

Aujourd’hui, le branchement se fait pas via web services, mais ça devrait évoluer.

1 million d’articles

Test réalisé, permettant de faire tourner une boutique, avec un million d’articles.

Fait avec plusieurs partenaires : Smile, Dell (pour le serveur), Coreye (hébergeur)

Réalisé sur une boutique « out of the box » 1.4.3.

Campagne de test, réalisé sur un serveur 4 CPU, 6 coeur, 64 Go

Scénarios très intrusifs : 15% de mise au panier, 5% d’achat.

Résultat :

  • 72 hits/sec
  • 69 pages /sec
  • Temps de chargement des pages moyen : 0,25 s
  • 240 k pages par heure
  • Testé sur 1h

Tests avec cache externe :

  • 3000 vu

Conclusion (Coreye) : C’est bon ( 😉 )

il fait hyper chaud, je commence à décrocher les amis

Version Garantie Editeur

Version pour les clients qui veulent l’engagement de l’éditeur.

Version payante, 4800 € par an.

Garantie Editeur de 180 jours

Support Editeur, à plusieurs niveaux (je n’ai pas le détail)

Outils de migration

OS commerce -> Prestashop

Magento -> Prestashop, en cours de développement (POC)

Marketing

Pas mal d’activité : 9 manifestations en Juin

Prochain barcamp prestashop (4ème opus) : 24 Novembre 2011 !

Au Tapis Rouge.

Présence également au Salon ecommerce de Paris : 25 000 visiteurs attendus.

ça doit être la fin de cette présentation, on va aller manger, dans la salle du haut : ouf, il fera moins chaud 😉 Merci à tous 😉

Le M-Commerce selon e-Bay : une machine à cash !

Cela fait pas mal de mois maintenant que eBay a développé son offre sur mobiles.

Quelques chiffres sur le business mobile actuel :

  • Application pour iPhone et iPad, disponible pour 190 pays
  • Meilleure journée 1010 sur mobile : 13 millions $ (!!!)
  • Chiffre d’affaires 2010 sur mobile : 2 Milliards $
  • Nombre de téléchargement des applications : 45 Millions
  • Temps moyen passé sur l’application mobile : 10 minutes
  • Panier moyen sur mobile : plus de 100 $
  • Fréquence des achats : 1 achat par seconde

Quelques chiffres sur les perspectives :

  • Chiffre d’affaires prévisionnel 2011 sur mobile : 4 milliards $
  • Chiffre d’affaires mondial sur le mobile estimé en 2015 : 120 Milliards $

Pas mal, non ?

Et vous, vous faites quoi sur le mobile 😉 ?

(source : eBay)

Retour sur le bouton « J’aime » d’Amazon

Cet article est écrit par Julien Chaumond, co-fondateur et CEO de Productism, un réseau social centré sur les produits, et auteur du livre Social commerce. Vous pouvez aussi suivre Julien sur Twitter.

En plein milieu de la Guerre des boutons dont parlait François il y a deux semaines (Boutons +1 de Google, Facebook Like, Tweet this, etc.) et qui continue à faire rage, un bouton est passé relativement inaperçu, en tout cas en France, alors même qu’il émane directement, non pas d’un réseau social, mais d’un e-commerçant : c’est le bouton « J’aime » d’Amazon.

Amazon a commencé à tester son bouton Like sur Amazon US vers novembre 2010, mais il n’a été mis en production sur Amazon.fr qu’il y a un mois environ (vers fin mai-début juin).

Ce qu’il y a d’intéressant avec le bouton J’aime d’Amazon, c’est qu’il permet de faire de la recommandation basée sur des signaux explicites (Amazon le dit clairement : « nous vous recommanderons des articles basés sur les produits que vous aimez ») alors que jusqu’à maintenant la recommandation était plutôt basée sur des signaux implicites (par exemple : j’ai consulté cet article, j’ai acheté cet autre article, etc.).

En revanche, le bouton « J’aime » n’est pas — pour l’instant ! — utilisé d’une manière sociale, c’est-à-dire que je peux facilement consulter la liste des produits que j’aime (sur la page « Chez vous« ), mais pas ceux des autres clients, amis, personnes ayant les mêmes centres d’intérêts, etc.  Même sur Amazon.com, où le e-commerçant a expérimenté l’intégration avec Facebook, ce qui a fait beaucoup de bruit (Voir ce bon article en anglais : Amazon’s Facebook Integration Is The Future Of Commerce), son bouton « J’aime » n’est pas relié à Facebook ou aux profils des clients.

Ce qui est très intéressant en termes d’usages, avec ces boutons, c’est qu’ils permettent au client d’exprimer de manière très simple, informelle, un intérêt pour un produit.

Du coup, comme il est beaucoup plus simple et rapide de cliquer sur « J’aime », que d’écrire un avis consommateur par exemple, le volume des données créées (et donc utilisables) est très important : je me suis amusé à faire un échantillonage aléatoire (ou à peu près…) d’une dizaine de produits, et il y a déjà, un mois seulement après la mise en place, souvent plus de « J’aime » que de commentaires clients, et parfois, 5 voire 10 fois plus !

Ainsi par exemple :

Qu’en pensez-vous ? Et pour les marchands plus petits qu’Amazon, cela a-t-il du sens de mettre en place un bouton « J’aime », plus spécifique que le Like de Facebook (où tout peut être Liké, pas seulement les produits) ?

Le e-commerce, en 2020

Malinéa Conseil, l’agence de Catherine Barba, a réalisé une étude :

2020, La fin du e-commerce… ou l’avènement du e-commerce connecté.

Vous pouvez la télécharger ici.

Cette étude nous a été présentée lors de l’AG de la Fevad. Je ne peux que vous la conseiller, j’y ai participé ;).

Elle a été réalisée pour le compte de la Fevad et avec le soutien du Ministère de l’Economie, des finances et de l’industrie.

Interview d’Olivier Marx, spécialiste de la « user experience »

Cela fait plusieurs années que je connais Olivier.

J’ai pensé que ça pourrait vous intéressé d’en savoir plus sur Altics, et son savoir faire.

voici donc une petite interview :

Bonjour Olivier, peut tu nous dire en quelques mots qui est Altics :

L’Altics Team teste (en laboratoire Eye Tracking ou à distance) et améliore la performance des sites marchands.

Notre crédo : moins de grains de sable pour l’e-shoppeur, c’est plus de ventes pour l’e-marchand J

Avec plus de 6 000 heures de tests au compteur, environ 100 tests présentiels par mois depuis 5 ans, je peux vous dire que les LABO ergonomiques d’Altics en ont vu des vertes et des pas mures 😉

Pourquoi demander l’avis d’utilisateurs ?

Parce que :

1 – c’est lui qui achète (ou PAS)

2 – il n’a pas la tête dans le guidon (le recul c’est important)

3 – la richesse de ce qu’il dit / fait / regarde est irremplaçable

Demander tôt l’avis aux utilisateurs fait économiser de l’argent.

Pour les curieux Philippe Mallein qui a inventé la méthodologie CAUTIC est mon mentor. Je l’ai connu en 1996.

Quelques phrases mythiques entendues lors de tests utilisateurs :

  • A propos de l’expérience d’achat : « Pour trouver une pièce auto il faut avoir un trèfle à quatre feuilles ou une pate de lapin »,
  • A propos d’une page d’accueil : « C’est la caverne d’Ali-Baba ce site »,
  • A propos du moteur de recherche : « Google le fait alors pourquoi ce moteur ne corrigerait-ils pas les fautes ? »

Après, il faut garder en tête que l’utilisateur n’a pas toujours raison (loin de là). Rien ne remplace la bonne offre aux bons prix poussée au bon moment à la bonne personne.

Mais ça, ce n’est pas de l’e-Commerce. C’est du Merchandising, apparu à la fin des années 70.

C’est qui un utilisateur ?

C’est une personne qui correspond à la cible du site. Un grand père qui achète des jouets pour son petit fils sur King Jouet. Une maman qui souhaite acheter une poussette sur Oclio.com. Un ado qui trouve de belles Converse sur Spartoo.com. Ou bien un automobiliste qui veut changer ses pneus (sur PopGom.com) ou réparer son alternateur (sur Mister-Auto.com). Je m’aperçois que je n’arrive pas à citer tous les clients Altics alors, le plus simple, c’est de les retrouver là > http://bit.ly/c8piQw

Comment fait on pour prendre les avis des utilisateurs ?

Il faut 3 principales qualités pour cela (je salue Emilie responsable du pôle Etudes chez Altics et son équipe) : l’écoute, le sens de la synthèse, et une formation ergonomique doublée d’une expertise e-Commerce. Notre process mis au point par 3 années de R&D est strict et entièrement internalisé : nous recrutons, effectuons les passations, analysons et proposons des recommandations.

Cela nous permet d’aller très vite et d’être pertinent. Bien sûr ajoutez à cela une forte expertise e-Commerce pour transformer tout cela en actions pour augmenter les ventes.

Pour voir les photos, c’est par là > http://on.fb.me/joZLy5

Quelles techniques pour quels objectifs ?

Tout dépend de ce que l’on cherche.

1 – Observer les comportements, et repérer les grains de sable ?

Le test utilisateur individuel (Eye Tracking ou non) sera idéal. Très complémentaire d’un Audit e-Merchandising et d’une WebAnalyse (qu’Altics proposent aussi)

2 – Reccueillir des attentes ?

2 ou 3 belles tables-rondes collectives (6-8 personnes) suivi d’un questionnaire et le tour est joué.

Comment fait on pour prendre l’avis des utilisateurs, sur un site qui n’est pas sorti ?

On demande au client les maquettes graphiques montées en (faux) HTML.

Puis on recrute et on organise les sessions de test individuels (1h environ) dans nos labos ou à distance.

6 à 8 tests suffisent en labo. A distance, on peut aller jusqu’à une centaine de personnes.

On peut aussi faire du collectif, ou mixer les deux. La force d’Altics c’est de monter une Etude sur mesure pertinente très rapidement.

Quelle logique d’accompagnement ? (dans la durée)

Aux UK, un site sur 2 est testé par de vrais gens.

En France, l’e-Commerce ne représente que 6,5% du retail. Plus de 10% aux UK. Et 8,5% en Allemagne.

Même si la France aura 100 000 sites e-Commerce en fin d’année, on est en retard.

Dans 2 ans, l’idée de sortir un site e-Commerce sans le tester avant paraitra folle car la professionnalisation arrive à grands pas.

Je pense qu’il faut tester les sites au moins tous les trimestres.

D’ailleurs, nous signons de plus en plus de contrat annuel avec nos clients, soit pour tester les sites / les newsletter, soit pour coacher les e-marchands.

Quels sont les limites des approches orientés utilisateurs (Steve jobs dit « pas de focus group ») 😉 et comment y réponds tu ?

Jobs est un visionnaire : il a réinventé 3 domaines : l’informatique (le Mac), la musique (iPod), l’internet mobile (iPhone), les tablettes (iPad).

Je crois qu’Altics a été la seule agence en Europe à tester l’iPad auprès de 150 personnes en mai 2010. L

L’étude est en téléchargement gratuit ici > http://bit.ly/aqjDno

Les limites des approches utilisateurs sont fortes. C’est pourquoi Altics mixe toujours l’expertise e-Commerce aux études utilisateurs.

Un peu à la manière d’un (bon) journaliste. Un bon papier est constitué de plusieurs sources.

Et les tests marchent aussi sur le mobile ?

Oui bien sûr. Nous testons mobiles et tablettes. D’ailleurs, pour ceux qui viennent au salon e-Commerce Paris en septembre, il n’est pas impossible qu’Altics ait une étude exclusive à vous présenter J

Mais Chuuuuut, en attendant, lisez déjà si vous le souhaitez nos 15 études e-Commerce sur l’e-Mailing, le bijoux (d’ailleurs je crois que tu t’es lancé dans ce secteur non ?), le tunnel d’achat…

http://bit.ly/cL3Fbf

Et pour conclure ?

Je vais te confier un secret. Je t’admire 😉 non seulement car tu fais parti des bloggueurs à publier chaque jour avec des articles de qualité. Mais aussi car tu fais partie des professionnels de l’e-Commerce que je respecte profondément. On devrait t’appeler le Zizou de l’e-Commerce.

C’est malin, tu veux que je dise quoi après ça ? 😉

Merci, à bientôt !

e-Logistique – Vidéo d’Olivier Moreau, patron d’Orium

Orium est une société de e-logistique.

Son métier est donc de faire le lien entre le moment ou le client passe sa commande, et la réception du colis.

Voici une vidéo, intéressante, d’Olivier Moreau, PDG d’Orium.

Il nous parle de sa vision du e-commerce et de la e-logistique :


L'e-commerce donne le ton au commerce de demain… par sitl

Hybris, solution pour bâtir un vrai système d’information e-commerce

Hybris n’est pas un nouveau venu :

C’est une boite créée en Allemagne, en 1997.

Dès le début, la boite a ciblé son développement sur le e-commerce, le « PIM étendu » et le multi canal.

Comme je l’ai déjà évoqué, chaque solution à son barycentre.

Alors que certaines solutions sont clairement bâties pour faire la partie Front (produire du HTML pour faire des sites web), Hybris pense que le coeur du sujet, c’est pas le front, c’est le catalogue.

L’idée, c’est de se dire qu’entre l’ERP, le système d’information de l’entreprise, et les sites Front, il y a besoin d’un middleware.

Hybris est donc une solution logicielle, centrée sur le catalogue. Ils appellent ça le PCM : Product Content Management.

Concrètement, cette solution permet de définir la structure des produits, le classement, les médias … Bref, vous bâtissez un référentiel produit, à la hauteur des enjeux du Web et plus largement, de tous les canaux de ventes.

Ce référentiel sera souvent alimenté par un système de plus bas niveau (ERP ou équivalent).

A partir de ce référentiel, l’autre axe clé de Hybris, c’est le multi canal : Hybris permet de publier de manière cohérente, vers les différents canaux de vente : catalogue, Web, mobile, magasin, …

Dans le cadre d’un projet de refonte, Hybris est une solution à envisager, y compris pour la partie présentation.

L’outil contient en effet un module CMS (Content Management system) qui m’a semblé très complet, et plutôt puissant.

Hybris a de très belles références : Rexel, Conrad, Nesspresso, …

Bon, clairement, cette solution ne cible pas les petits sites…. Hybris cible les gros sites, ou les sites ayant de grosses ambitions, avec les moyens qui vont avec ;).

Oxatis et Actinic se rapprochent, pour créer un leader européen du e-commerce SAAS

Oxatis est la solution leader en France, pour mettre en ligne un site e-commerce, pour quelques dizaines d’euros par mois.

Oxatis, c’est 6500 boutiques en lignes (vraiment en ligne 😉 : oxatis fait appel à une société tierce pour valider ses chiffres, tous ne le font pas ), avec une présence en France, en Italie et en Espagne.

Pour se développer à l’international, Oxatis c’est rapproché de Actinic,

Ensemble, les deux solutions représentent :

  • 20 000 sites en ligne
  • 11 millions de commandes par an
  • Plus d’1 milliard d’euro de CA généré par l’ensemble des sites en ligne

Si j’ai bien compris, la stratégie est de bâtir la suite plutôt à partir de la technologie Oxatis, et de s’appuyer sur Actinic pour l’expérience terrain en Uk.

Bonne chance à Oxatis et Actinic pour la suite !