Vous allez comprendre…
ça, c’est la notoriété respective des acteurs du marché du e-commerce dans le domaine des chaussures (via google trends):
La situation semble simple : Sarenza en tête, spartoo derrière, et l’arrivée d’un nouvel acteur depuis quelques semaines : Zalando…
Hum, au niveau notoriété, ça semble monter vite… Il faut dire qu’ils tapent fort, avec des pubs télé…
Mais qui peut oser s’attaquer comme ça à un marché qui semble bien occupé, avec deux acteurs de taille raisonnable ?
La courbe précédente, c’est le nombre de recherches, sur les mots clés sarenza, zalando et spartoo, en France…
Voyons ce que ça donne au niveau mondial :
Qui est le petit maintenant, et qui est le leader ?
Allez, encore un coup de zoom arrière, avec la Zappos :
Ah là là, notre fierté nationale en prend un coup 😉
Bon, maintenant, pour réellement analyser ce marché, il faudrait aller beaucoup plus loin : comparer les catalogues, la pression e-marketing de chaque acteur, l’offre (prix, service).
Et surtout regarder le CA , les bénéfices ainsi que la marge car après tout ecommerce ou pas, ce sont des vendeurs de chaussures comme mon petit commerçant du coin. A c’est sur c’est plus sexy sur in ter net ! Mais ils vendent des pompes, ni plus ni moins, donc tout ça c’est du flan, seul le CA et les bénéfices comptent ! Si vous y voyez quelque chose a y redire j’en serai très étonné …
Je ne suis pas sûr de bien comprendre le sens de ton commentaire… il fait combien de millions d’euros par mois ton petit commerçant du coin ?
Et je comprends pas ce qui est du flan… au pruneau ?
Super intéressant cette étude. Ca montre bien que sur Internet un marché atomisé n’existe pas. Pas comme dans « la vraie vie » en tout cas. Avec du budget (beaucoup de budget), il est possible de faire sa place sur Internet. A mon sens, il est plus facile de s’imposer en tant que e-commerce si on sait tirer les bonnes ficelles, qu’avec un vrai magasin où il existe davantage de paramètres assez peu prévisibles.
L’un des gros avantages d’Internet est que toutes les actions (communication par exemple) sont mesurables au visiteur près, et cela est donc beaucoup plus fiable pour mettre en place des stratégies.